Catherine de Baillon

Catherine de Baillon

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... À la mort de son épouse, Claude se remaria avec Marie d’Ausson dont il n’eut pas d’enfants. ...

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... Loyse était alors mariée à Alphonse de Baillon, alors que Catherine, la cadette, avait pris pour époux un chevalier au nom évocateur  : Jehan de Fleury, seigneur des Violettes, chevalier du Saint-Empire et gentilhomme de la vénerie du roi. *** Que ce ...

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... Son épouse, Catherine Marie, et les frères et sœur de celle-ci détiennent donc de droit quel­ ques biens en France. Qui Soulard rencontre-t-il en Île-de-France  ? ...

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... Jean, marié depuis 1691 avec Madeleine Dubé  ; vit à la RivièreOuelle. Charles le cadet, marié depuis 1702 avec Marthe Vallée  ; vit à la Rivière-Ouelle. Claude Marie, mariée depuis 1699 avec François Niquet. Se remariera deux autres fois. ...

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... Il va sans dire que les activités de Soulard, armurier et arquebusier, sont lucra­ tives, mais Catherine Marie est aussi une femme pleine d’éner­ gie et de ressources pour conduire la maison. ...

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... En 1625, à Amiens, Marie de Rohan organisa, dans des jardins, une rencontre entre le duc et la reine, au cours de laquelle Buckingham aurait voulu caresser Anne d’Autriche. 13. ADY D1362-1368, 13 mars 1638. ...

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... Jean Racine Les Plaideurs L a guerre de succession d’Espagne (1701-1713) qui perdure n’est pas sans enrichir quelque peu l’époux de Catherine Marie Miville, Jean Soulard. La guerre n’est-elle pas le pain des marchands d’armes  ? ...

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... Catherine Marie vient de perdre là non seulement un compagnon qui avait œuvré pour sa cause, mais aussi un confort matériel exceptionnel  ! ...

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... À la mort de sa mère, survenue le 2 mars 1630, soit trois ans et demi après celle de son père, Adam III, la famille se réunit, le 29 mars, pour partager les biens qui entraient dans la succession2. ...

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... Plessis-Dorin où j’ai vu le seigneur battre lui-même son blé dans sa grange, la dame occupée à faire des augées pour les vaches et les cochons, MM. les fils conduire la charrue et Mesdemoiselles les filles garder les troupeaux… » Source  : Constant, Jean-Marie ...