Champlain

Champlain

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... La présence de Basques français vers Tadoussac et de pêcheurs de morue s’aventurant à la traite jusqu’à l’île d’Orléans dans les années 1570 et 1580 n’est plus à démontrer. ...

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... En effet, arrivés à destination, une partie de l’équipage débarquait et ces marins devenaient les hommes de travail des commis des compagnies pour pratiquer la traite pendant tout l’été. ...

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... À partir de 1603, l’Acadie péninsulaire est écossaise. Elle est rendue à la France en 1632, en même temps que Québec, par le traité de SaintGermain-en-Laye. ...

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... Le voyage de 1603 Devenu en 1603 le titulaire du monopole des fourrures, Aymar de Chaste envoya François Gravé Du Pont à Tadoussac, avec trois navires, pour y faire la traite. ...

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... Brûlé partit donc avec les Algonquins vivant à l’île aux Allumettes, appelée simplement l’Île, et ne revint qu’en juin 1611, avec un groupe de deux cents Hurons, ayant été bien traité et ayant appris le huron. ...

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... À Paris, en 1612, Champlain rencontra Nicolas de Vignau, le Français qui venait d’hiverner chez les Algonquins de l’Île. ...

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... Champlain, dans son ouvrage, traite Vignau de « plus impudent menteur qui se soit veu de long temps » (Champlain, 1613 in Giguère I : 440). ...

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... Vignau fut abandonné et l’on n’entendit plus parler de lui. Champlain avait-il raison de traiter ainsi Vignau ? ...

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... En 1623, les Hurons venus faire la traite des fourrures acceptèrent d’emmener onze Français et d’en ramener trois le printemps suivant, avec le père Viel et le frère Sagard. ...

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... Son dernier récit de voyage, pour 1633, traite peu de l’Ontario (Champlain, 1633 in MNF II : 350-397). Dans l’histoire de l’Ontario, Champlain fait surtout figure de premier explorateur européen. ...