... Aux origines de la traite des fourrures sur les côtes de « Norembegue » Le commerce des pelleteries ou, selon l’expression consacrée par l’histoire coloniale, la traite des fourrures, commença comme un « commerce de pacotille » à bord des bateaux de pêche ...
Champlain
... C’est à partir de ces premières expériences que la perception que se firent les Amérindiens des objets français et leur désir pour ces objets furent fixés et les règles de la traite établies. ...
... La traite disparut presque entièrement dans les années 1570 — on dénombre un seul navire — sans doute en raison des guerres de religion, qui atteignirent alors un sommet en France. ...
... Cependant, pour les pêcheurs et les traiteurs, la côte de la Floride avait son centre dans le golfe du Maine : en effet, les archives mentionnent souvent la traite effectuée dans cette région en même temps que la pêche à la morue, que l’on ne peut pratiquer ...
... La première occurrence, écrite en caractères gras, représente le toponyme et l’endroit officiels, tandis que la seconde, écrite en petits caractères et beaucoup moins visible, pourrait correspondre au nom vernaculaire utilisé par les pêcheurs et les traiteurs ...
... Les Normands essayèrent plusieurs routes maritimes et différentes manières de combiner la pêche avec la traite des fourrures dans cette région. ...
... Mis à part l’achat des victuailles, les quatre avitailleurs finançaient celui des marchandises de traite, pour une somme substantielle totalisant 1050 livres Les Français en Nouvelle-Angleterre avant Champlain • 105 ...
... Cette cargaison consistait en une grande variété de marchandises de traite provenant de différents parties de l’Europe. ...
... Des villages de plusieurs centaines d’individus disposaient de cimetières collectifs dans lesquels les articles de traite étrangers étaient déposés en guise d’offrandes. ...
... La traite française s’étendait bien au-delà de la NouvelleAngleterre. ...