Chavigny de la Chevrotière (Les)

Chavigny de la Chevrotière (Les)

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... , à toute la famille et à tous les autres parents. ...

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... Pierre de la Martinique, 28 août 1804 Cher oncle, Je n’ai pas encore reçu aucune de vos nouvelles quoique je suis informé que vous ayez reçu quatre de mes lettres, une d’Albany, deux de New York y compris la lettre circulaire et une de la Martinique car ...

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... Madame de la Chevrotière me prie de vous assurer de ses respects et de son estime ainsi que ma tante et toute votre chère famille. Notre parent, sa femme et toute sa famille vous disent mille choses. ...

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... Pierre de la Martinique, 28 août 1804 Chère mère, Je viens de recevoir pour la première fois depuis mon départ du Canada de vos chères nouvelles par votre lettre du 11 février dernier, jour que je suis arrivé à la Martinique. ...

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... Ch. de la Chevrotière 4 Joseph-Marie à son oncle Joseph New York, 29 juillet 1806 Mon cher oncle, Je viens de recevoir votre lettre datée des 28 juin 1805 et 2 de janvier 1806 que je viens de prendre chez mon correspondant. ...

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... Je suis parti de la Martinique dans l’intention de passer en Europe où j’ai quelques affaires qui m’y appellent, de là revenir à New York, courir au Canada pour y goûter pendant quelques jours, au sein de ma famille, les douceurs inexprimables que l’on ...

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... J’aurai à peine le temps de cacheter ma lettre ; vous voudrez donc bien être assez indulgent, ainsi que les personnes entre les mains de qui elle pourra tomber, pour en excuser toutes les fautes qui s’y seront glissées, n’ayant pas le loisir de la lire ...

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... Si vous avez la bonté de m’écrire, vous recommanderez vos lettres aux soins de M Georges Hammeken, Consul de sa majesté danoise, Pearl street Nº 78 à New York. 4 Joseph-Marie à son oncle Joseph St-Pierre Martinique le 1er avril 1812 Mon cher oncle, Depuis ...

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... Dans sa lettre du 29 juillet 1806, il accuse réception de deux lettres de son oncle. ...

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... Mon cœur se brise à ce douloureux souvenir, ma plume se refuse à vous en retracer l’événement, pourquoi faut-il que j’aye à vous l’annoncer, pourquoi faut-il que ma lettre soit cause de la peine ? ...