Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

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... Auparavant, sa famille l’aura adopté officiellement selon le rituel établi : bain symbolique de purification et festin spécial, accompagnés de chants et de danses. Pour l’instant, il file sur ses douze ans. ...

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... Vraisemblablement, Jonathan et Joseph Haynes les accompagnent et leurs familles acceptent de se séparer d’eux, aux environs de Québec. ...

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... La famille déménage en 1706 à L’Ange-Gardien où le dernier-né, Jean-Baptiste, voit le jour l’année suivante. ...

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... Plusieurs ont épousé une « Françoise » et fondé une famille. Les autorités de la colonie transmettent à Versailles une requête concernant quatre-vingtquatre d’entre eux pour que leur soient octroyées des lettres de naturalité. ...

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... Ces lettres de naturalité sont enregistrées par le Conseil supérieur le 6  octobre  1710 et signées par Charles de Monseignat ; un personnage important, que ce Montseignat : ancien commis de l’explorateur Cavelier de La Salle, il a été sous-directeur ...

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... La rareté du numéraire en espèces sonnantes et trébuchantes oblige l’intendant à émettre une « monnaie de carte » qu’il s’engage à racheter chaque automne et à convertir entre lettres de change sur le trésor de la Marine. ...

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... Charles et son épouse prennent possession de l’une des maisons et invitent Joseph et sa famille à occuper la seconde ; cette famille comprend un quatrième membre depuis la naissance de Marie, le 6 avril. ...

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... Cela ne dure guère et la famille déménage de nouveau, cette fois à Québec, dans le quartier du Palais. ( 37 ) ...

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... Une cloison sépare le rez-de-chaussée en deux pièces : l’une s’ouvre sur la rue et peut servir de boutique ou d’atelier ; l’autre, la chambre à feu où vit, mange et couche la famille, donne sur la cour. ...

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... Sans doute Jean Guillot, un charpentier ; la famille habite le même quartier et Joseph établira avec les enfants ( 43 ) ...