Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

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... Sans être démunie, la famille Ainsse vit modestement. Les mois s’écoulent. Dorothée Lessard s’occupe du père tout en élevant les enfants. Ceux-ci s’attachent à elle, le père aussi. La suite est prévisible. ...

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... À l’automne, la famille Ainsse quitte la rue des Pauvres et prend possession de sa nouvelle demeure. ( 47 ) ...

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... Des notables y aménagent, tels l’armateur François Lemaître dans la rue Sainte-Famille et le notaire Jean-Étienne Dubreuil dans la rue Saint-Joseph. ...

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... Afin de réduire la masse monétaire en circulation, on envisage de remplacer les cartes à la moitié de leurs valeurs nominales par des lettres de change payables en espèces par le trésor royal. ...

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... Mais entre la vallée du Saint-Laurent et la côte de l’Atlantique des gens circulent, des lettres s’échangent et on ne doit pas se surprendre que la nouvelle du décès de sa mère lui soit parvenue. ( 50 ) ...

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... C’est une succession modeste, certes, mais elle témoigne de ses capacités à investir une partie de ses revenus, une fois comblés les besoins de la famille. ...

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... Les parents leur ont généralement choisi des parrains et des marraines dans la famille de la mère. ...

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... Ces femmes et ces hommes, tous apparentés par cousinage ou par alliance, appartiennent à des familles françaises de vieille noblesse, tels les Legardeur, ou à des familles canadiennes anoblies par le roi, tels les Aubert. ...

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... Joseph Ainsse passe avec Jacques Lepage dit Le Roy « des accords et conventions » où il accepte de construire « une maison sur la place qu’il [le client] a sur la rue de la Ste Famille de charpente pièce sur pièce ». ...

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... Ces billets signés par l’intendant et convertibles en octobre de chaque année en lettres de change tirées sur le trésor royal compensent le manque chronique de numéraire en Nouvelle-France. ...