Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

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... Plus les paquets de tabac et les cruchons de rhum indispensables aux négociations pendant la traite. Enfin, la nourriture du voyage : pois cassés, farine de maïs, lard séché. ...

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... Outre une solde annuelle de 1 700  livres, le commandant conserve les droits d’émission des permis de traite et les profits tirés de la vente de produits aux Indiens. À Michillimakinac, les revenus totaux du commandant ( 85 ) ...

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... Il peut réquisitionner les services des civils pour préserver la paix et protéger les routes de traite. ...

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... L’été, la population permanente de Michillimakinac s’accroît de celle des voyageurs et de leurs engagés, ceux qui sont venus de Montréal avec leurs cargaisons de marchandises sèches vendues à la population ou destinées à la traite et ceux qui sont venus ...

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... René Bourassa, un temps associé avec La Vérendrye, a préféré acquérir son indépendance et traiter pour son propre compte. Laissant son ancien partenaire partir vers sa destination, il organise son départ vers son objectif. Lequel ? ...

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... Le traité de paix signé, Céloron de Blainville ramène ses troupes au fort L’Assomption et livre ses quatre prisonniers au gouverneur de Bienville. ...

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... Les voyageurs et leurs engagés transportent dans les entrepôts les marchandises destinées à la traite. ( 100 ) ...

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... Il avait quitté Saint-Joseph l’année précédente et reconduit à Montréal sa femme et leurs six enfants ; il est remonté à Michillimakinac avec une cargaison de marchandises destinées aux traiteurs. ...

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... .], le nourrir, le coucher, le blanchir, le raccomoder et le traiter humainement ». ...

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... L’intention était claire : accroître l’influence de la colonie sur les tribus de la région, développer la traite des fourrures au bénéfice des marchands anglais et favoriser l’installation de colons. ...