... Bourassa a décidé de s’installer à demeure à Michillimakinac et d’y amener sa famille. ...
Chronique des Ainsse d'Amérique (La)
... Les d’Ailleboust depuis trois générations sont bien représentatifs de ces familles nobles qui cumulent en Nouvelle-France les fonctions d’officiers des troupes de la Marine, acquièrent des seigneuries et s’enrichissent dans le commerce des fourrures. ...
... S’ajoutent aux bâtiments religieux un moulin à farine et un moulin à scie ; une soixante d’habitants, soit 15 familles, peuplent le village à la même époque. ...
... Sa famille la prend charge, notamment sa sœur Marie-Anne et son beau-frère Charles Chaboillez ; en retour, elle les aide à élever leurs six enfants. ...
... Constance partage sa vie entre son fils et sa famille. Si les occupations ne manquent pas, les distractions laissent à désirer. ...
... Le père, lui, est retourné à Montréal écouler ses fourrures ; il repart à l’été avec les siens à destination de Détroit où la famille s’installe définitivement. ...
... Des lettres s’échangent entre le commandant de Michillimakinac et les autorités de Québec ; enfin, le 6 avril 1754, François Bigot, intendant de la NouvelleFrance, signe la commission de notaire royal dudit Cardin pour exercer « au poste de Michillimakinac ...
... Les nouveaux venus occupent les maisons des familles canadiennes qui ont quitté la place, telles les Chaboillez et les Gautier de Verville, soit que les propriétaires les leur aient vendues, soit qu’ils leur louent. ...
... Nissowaquet décide d’évacuer la population civile ; sous la protection de ses guerriers, les familles résidentes, les Cardin, Bourassa, Cotté et autres, ainsi que les voyageurs canadiens et anglais prennent la route de L’Arbre Croche. ...
... Après la passation des pouvoirs, Langlade quitte le village et s’installe avec sa famille à La Baye où son père l’avait précédé. Le retour de la paix devait entraîner la reprise du commerce et de la traite des fourrures dans les Pays d’en Haut. ...