... Le royaume de France et les Insurgents avaient signé, le 6 février 1778, un traité d’amitié, d’alliance et de commerce qui avait suscité au gouvernement et dans les milieux d’affaires français beaucoup d’espoir mais, après avoir paru dans l’immédiat ...
Chute de la Nouvelle-France (La)
... D’une part, dans l’immédiat, elle eut surtout pour effet de permettre aux Anglais de mettre la main sur la traite de la gomme qui n’était pas un enjeu considérable. D’autre part, elle leur permit de prendre pied dans le commerce lucratif 51. F. ...
... Mais la partie n’était pas totalement gagnée, comme le prouva l’échec dans la Chesapeake. ...
... En somme, à l’exemple de bien des traiteurs français, il multiplie les liens avec diverses nations et, dans son cas, particulièrement avec les CinqNations. ...
... Les marchandises de traite se font rares. Les présents habituels ne sont pas là. William Johnson a prévenu les Amérindiens. ...
... Enquête sur un sauf-conduit de 1760 devenu un traité en 1990, Montréal, Boréal et Septentrion, 1995, p. 54 : « Sir William Johnson all day in conference with the Indians. » 15. Ibid., p. 65. ...
... de leur envoyer des offres de paix et de protection, ce qu’il approuva, et à notre arrivée au fort Lévis vinrent des députés de ce que nous appelions jusque-là les Nations en réponse au message que je leur avais envoyé d’Oswego, qui ratifièrent là un traité ...
... Un vrai traité, rarement cité Pour être mis en application, les termes du traité de Caughnawaga19 – dans ce cas, le terme « traité » est bien celui qui convient – présupposent que le Canada passera officiellement sous l’autorité des Britanniques. ...
... La nouvelle de la cession du Canada par la France, confirmée par le traité de Paris du 10 février 1763, provoque un moment d’hésitation chez les tribus rebelles puis, le conflit ; reprend de plus belle. ...
... Blancs et Amérindiens s’y affrontèrent jusqu’au traité de Grenville (1795), alors que les Américains en accaparèrent la plus grande partie. ...