Chute de la Nouvelle-France (La)

Chute de la Nouvelle-France (La)

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... 334 l a chute de l a nou velle-fr a nce Blocus du Mississippi Nous ne ferons pas l’histoire de la résistance guerrière amérindienne qui s’est poursuivie jusqu’à la conclusion d’un traité en septembre 176631. ...

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... Marc de Villiers du Terrage, Les Dernières Années de la Louisiane française : le chevalier de Kerlerec, d’Abadie, Aubry, Laussat, Paris, Guilmoto, 1905, p. 208. 41.  Collections of the Illinois State Historical Library, op. cit., vol. 10, p. 431, C.  ...

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... Pontiac, une guerre d’indépendance • denys del âge 337 déclarations d’amitié exprimant «  qu’ils ne renonceront jamais à voir leur premier père qui les a toujours traités avec douceur42 ». ...

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... Informé en 1762 qu’aucun traité n’était encore signé et que la guerre se poursuivait entre l’Angleterre et l’Espagne appuyée par la France, le gouverneur de la Louisiane, le chevalier de Kerlerec, incitait en avril ses alliés autochtones à reprendre le ...

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... ., C13A  42, fol.  58, le chevalier de Kerlerec au ministre de la Marine, 4 août 1760 ; fol. 61, procès-verbal du conseil extraordinaire de guerre tenu à La Mobile le 24 juin 1760, concernant la traite des Alibamoux, août 1760. 49.  ...

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... Les Amérindiens de la Louisiane connaissent les mauvais traitements qu’inflige aux premiers habitants la colonisation anglaise à l’est des Appalaches52. ...

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... 342 l a chute de l a nou velle-fr a nce d’influences entre empires français et anglais conduisent au retrait de la France d’Amérique du Nord par le traité de Paris de 1763. ...

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... « s’approprier de leurs terres comme sa propriété, et ne souhaitait pas davantage de privilèges que ce dont avait joui le roi de France, c’est-à-dire favoriser le commerce, voir à leur bien et à leur bien-être62  Alors que spéculateurs, colons ». et traiteurs ...

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... Pontiac, une guerre d’indépendance • denys del âge 345 amérindiens de s’établir dans leur pays63 » et Pontiac, insistant toujours sur la question foncière, accepta le traité dans la mesure où «  leur père le roi d’Angleterre ne considère pas la prise ...

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... Aucune transaction n’aurait lieu sans l’accord des chefs légitimes et toutes seraient transigées exclusivement entre ces chefs et les représentants mandatés par le roi, lors de traités officiels donnant lieu aux « largesses de Sa Majesté » pour les terres ...