... Ce boom était dû à l’exportation de produits agricoles comme le blé, l’avoine, la farine, le bœuf et le poisson qui manquaient si cruellement aux Français. ...
Combattre avec les vivres
... Les écoliers furent envoyés dans les champs par les enseignants où ils exterminèrent ces « ennemis de la production » à l’aide de poisons, de pièges et de bâtons359. ...
... À Toronto par exemple, en janvier 1917, le journal Ottawa Citizen rapporta avec indignation la destruction de près de 200 000 œufs en 1916 et de plus de 50 tonnes de pommes de terre, en plus de poissons, de fruits et de légumes par des entrepôts frigorifiques ...
... Le 3 janvier 1917, une caricature de La Presse représente également un propriétaire d’entrepôt comme un voleur assimilé à un « Boche du terroir en » refusant l’accès à ses produits à une ménagère affamée38. ...
... Elle proposait des conseils de nutritionnistes sur la question des calories indispensables quotidiennement en préférant des aliments de substitution (légumes, poissons) à ceux qui étaient demandés pour l’outre-mer (viande, blé). ...
... Elles définissaient les aliments à économiser et à réserver pour les troupes (bœuf, bacon, blé) et ceux que les Canadiens pouvaient consommer (poisson, légumes fruits)224. ...
... Ces menus proposaient pour chaque jour des recettes différentes avec des aliments de substitution au blé, au porc et au bœuf en tablant sur le poisson, les légumes et des céréales autres que le blé. ...
... manger du poisson », Le Soleil, 27 octobre 1917, p. 10 (encart du contrôleur des vivres du Canada). 242 ...
... Ils mettaient à l’honneur les aliments de substitution promus comme les légumes, le poisson et les substituts au blé. ...
... Les professeurs actualisèrent leur enseignement en proposant à leurs étudiantes des recettes de guerre faites de substituts (légume, poisson, etc.). Au Québec, ce fut le cas du collège Macdonald et de l’établissement de SainteAnne-de-Bellevue270. ...