Communautés juives de Montréal (Les)

Communautés juives de Montréal (Les)

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... Mais le fait de se soucier des enfants et des démunis, même lorsqu’ils ne sont pas des membres de la famille immédiate, a longtemps été perçu comme une activité attribuée aux femmes. ...

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... Dans les familles monoparentales, lorsque le parent qui a la garde des enfants est la mère, 32 % vivent dans la pauvreté, par rapport à 23 % lorsqu’un homme est dans la même situation. ...

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... Chez les Juifs, la pauvreté est surtout éprouvée par les personnes âgées, les immigrants récemment arrivés, les mères célibataires et les Juifs ultra-orthodoxes, dont les familles sont très nombreuses. ...

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... La clef, cependant, est la famille. ...

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... Si l’homme est prêt à adhérer à Dieu, non seulement pendant la prière et l’étude mais en tout temps, s’il suit le rebbe, s’il participe à la vie communautaire, il devient aussi pieux, hassid, que les lettrés. ...

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... La population juive de Montréal a été créée par des vagues successives d’immigration, les premières consistant en familles et individus plutôt que groupes, l’immigration de masse commençant autour de 1900. ...

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... S’ils pouvaient prouver qu’ils avaient de la famille au Canada, hassidique ou non, ils obtenaient un permis d’entrée au pays. ...

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... En raison du taux de natalité extrêmement élevé, des familles de cinq ou six enfants constituent la norme et des familles de dix enfants et plus ne sont pas exceptionnelles, la population hassidique augmentant de près de 5 % par an, soit un doublement ...

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... Institutions hassidiques Au fur et à mesure que les Hassidim sont passés de quelques familles à des petits groupes, ils ont créé leurs propres institutions. Cela suppose une masse critique qui varie selon les services. ...

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... Cela suppose un minimum de familles et un gigantesque effort d’organisation. ...