Culture artistique au Québec au seuil de la modernité (La)

Culture artistique au Québec au seuil de la modernité (La)

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... -P. de Beaumarchais et autres, Dictionnaire des littératures de langue française, Paris, Bordas, 1987, 295-298. ...

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... Du coup, il devint l’enfant gâté de Paris ; ses tableaux se vendaient au prix de l’or. Quelle était la cause réelle de cet engouement ? ...

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... De TalleyrandPérigord, voir Mémoires : 1754-1815, Paul-Louis et Jean-Paul Couchoud éd., Paris, Plon, 1982. ...

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... Mais le trait essentiel de la physionomie, c’était ce nez capital, busqué, paradoxal et péremptoire, qu’il relevait brusquement, d’une vive secousse en arrière, lorsqu’il allait lancer quelque saillie, et qui empanachait son profil comme un moulinet préalable ...

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...   « Les grands artistes », Paris, H. Laurens éditeur, s. d. ...

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... considéré l’Angleterre comme « une invoqués ici, dont la plupart sont spécialistes du sujet traité (R. de la Sizeranne, E. ...

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... Ils ne font pas[...] trop souvent s’applique à poétiser, à parer de grâce et d’élégance les traits plus ou moins réguliers qui s’offrent à son attention, dissimulant les défauts sous l’étalage du costume, l’éclat des draperies ou la richesse du décor. ...

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... [,   Bologne] et à Venise [puis à Paris]. ...

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... Ainsi, il préludait à l’art si difficile du portrait en faisant celui de son pays natal qu’il traite avec l’émotion et la tendresse scrupuleuse qu’il apportera plus tard à l’expression d’un visage, à la pensée d’un regard, à la grâce d’un sourire. ...

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... Sans doute, le problème devenait plus difficile et se vidait à demi de poésie lorsqu’il était condamné à rendre les traits peu séduisants de ses contemporains ; mais avec l’enfant et la femme, il pouvait donner libre cours à sa fantaisie et composer le ...