Culture artistique au Québec au seuil de la modernité (La)

Culture artistique au Québec au seuil de la modernité (La)

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... En effet, le 27 juin 1896, « au N° 78 de la rue St Laurent », à peine six mois après sa première projection publique à Paris le 28 décembre 1895, on assistait à Montréal à L’arrivée d’un train en gare. « Nous avons eu d’abord le télégraphe, puis le téléphone ...

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... L’AG nous apprend ainsi qu’à l’époque où Lagacé y donne ses premiers cours, l’ULàM se caractérise par de forts sentiments d’appartenance, religieux, politiques et culturels, envers Rome, Londres et Paris. ...

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... chapitre 3 : le professeur d’histoire de l’art à l’université laval 149 congressistes français y ont enseigné et que la majorité des professeurs montréalais employés par l’ULàM et l’UdeM ont effectué leurs études à Paris. ...

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... Le cours de littérature, donné exclusivement par des professeurs français agrégés de l’Université de Paris durant les quelques premiers cinq ans, est donné, comme les deux autres, sur une période de six mois, entre novembre et avril. ...

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... Ce dernier, en particulier, est intéressant, en raison d’un commentaire que fait Lagacé, paru dans la presse, mais non dans l’AG, au sujet d’une toute nouvelle façon de traiter l’art de la Renaissance, en une refonte qui aurait « eu pour effet de détruire ...

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... Ce récapitulatif, constitué à partir de documents d’archives, d’articles de journaux, des annuaires de l’ULàM et de quelques monographies, met également en lumière les liens culturels qui se tissent entre Paris et Montréal. ...

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... l’été. «  […] et je profiterais de cette bonne occasion pour faire ce choix et m’y ferais aider par ceux-là mêmes qui sont à Paris chargés de cet enseignement. ...

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... Le plus important de ces conférenciers, Julien-Maxime-Stéphane Doumic (1863-1914), un architecte parisien formé à l’École des beaux-arts de Paris entre 1883 et 1893 et ayant œuvré en tant que diplomate pour le gouvernement français, était déjà installé ...

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... À la fin de l’année 1909, nous avons la trace, par un procès-verbal datant du 20 décembre 1909, de la manière dont le projet montréalais se voit légiféré, à partir de Paris, Max Doumic ayant reçu le mandat, lors d’une précédente réunion tenue à Paris ...

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... Une fois établi que le Comité de Paris assurera des prix avantageux pour l’obtention des œuvres, le deuxième article explicite les modalités de financement du musée, lequel financement sera assumé par Montréal, tandis que le Comité de Paris aura un pouvoir ...