... À Paris, Samuel de Champlain va le persuader, avec un contrat alléchant, de venir s’installer à Québec avec sa famille. Il abandonne donc un commerce florissant et immigre à Québec en 1617 avec sa femme et ses trois enfants. ...
Curieuses histoires d'apothicaires
... C’est un goût qu’il aurait hérité de sa famille de Brouage, très attachée à la terre. Mais Champlain ne tient pas uniquement son habileté en horticulture de son héritage français. ...
... C’est le nom que lui donne Marie-Victorin*, une plante de la famille des berbéridacées. On l’appelle aussi « calomel végétal », un sel de mercure qui a des propriétés purgatives comme le podophylle. ...
... A-t-il eu une correspondance avec un membre de la famille Robin ? Il reste encore beaucoup à découvrir sur ce pharmacien de la première heure en NouvelleFrance. ...
... Pour éviter de faire venir trop de médicaments, elles ont aménagé un jardin de plantes médicinales qui leur faisait économiser, comme elles le disaient dans une lettre. « Je ne puis vous dire au juste Mr. ce que nous rapporte ce jardin si envié, sans ...
... Et si vous appelez maintenant, vous en aurez un deuxième tube gratuit, vous n’aurez qu’à payer les frais de livraison et de manutention. » Convaincue par les deux professionnels, sœur Sainte-Hélène commande de l’onguent divin dans une des premières lettres ...
... Dans presque toutes les lettres de la mère Duplessis de Sainte-Hélène à ses correspondants de France, il est question du capillaire du Canada. formulaire* de mère Marie de la Chasse avait attiré l’attention de sœur Sainte-Hélène. ...
... En 1757, il entre comme apprenti apothicaire à Göteborg chez Martin Anders Bauch, un ami de la famille. À la suite de la vente de la pharmacie Bauch, Scheele déménage à Malmö en 1765. ...
... Mère Marie-Andrée Duplessis de Sainte-Hélène (voir le chapitre 6), qui s’inquiète de la disette qui sévit à Québec en 1736, fait allusion à une « pomme de terre » dans une lettre de 1737 : « Le bled y a manqué, et les pauvres habitants ont été réduits ...
... Augustin Parmentier ne venait pas d’une famille riche et ne pouvait pas se payer de telles études. Mais il y avait un autre moyen de devenir apothicaire à peu de frais : être militaire. ...