Curieuses histoires d'apothicaires

Curieuses histoires d'apothicaires

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... En effet, les Ursulines utilisent un formulaire* composé en 1675 par mère Marie de la Chasse, la première pharmacopée canadienne. ...

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... Une apothicairesse : sœur Marie-Angélique Viger, dite de Saint-Martin. Ayant reçu sa formation d’apothicaire chez les Ursulines de Trois-Rivières, elle rejoint les Augustines de l’HôtelDieu de Québec en 1788 et prend le nom de sœur Saint-Martin. ...

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... formulaire* de mère Marie de la Chasse avait attiré l’attention de sœur Sainte-Hélène. Il est intéressant parce qu’il modifie, amollit, cicatrise, résout et fortifie. ...

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... Mère Marie-Andrée Duplessis de Sainte-Hélène (voir le chapitre 6), qui s’inquiète de la disette qui sévit à Québec en 1736, fait allusion à une « pomme de terre » dans une lettre de 1737 : « Le bled y a manqué, et les pauvres habitants ont été réduits ...

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... Parmentier présente à Louis XVI et à Marie-Antoinette sa culture de pommes de terre dans la plaine des Sablons. La culture de la pomme de terre avait été interdite en 1748 par un décret du Parlement. ...

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... Gravure dans le Petit Journal, mars 1901. Le 25 octobre 1786, Parmentier se rend à Versailles. Il remet au roi un bouquet de fleurs de pomme de terre que le roi passe à sa boutonnière. Il en remet aussi à la reine. ...

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... Tableau de Pierre-Marie Beyle (1837-1902) en 1884. La scène montre des opérations de ramassage et de brûlage de varech, des tâches réservées aux femmes. ...

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... Charles-Marie de La Condamine d’après Louis Figuier 1873-1877, Les Merveilles de l’industrie. Charles-Marie de La Condamine (1701-1774) a découvert le quinquina au cours d’une expédition qu’il a faite en Équateur entre 1735 et 1743. ...

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... Il guérit aussi Marie-Louise d’Orléans (nièce du roi de France) d’une fièvre quarte. Louis XIV envoie même Talbor en Espagne pour soigner sa nièce (qui s’était mariée à Charles II, roi d’Espagne) lorsque celle-ci est malade de nouveau. ...

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... En 1836, trois industriels français (Pelletier, Levaillant et Delondre) s’associent pour fabriquer chacun une certaine quantité de quinine sous la marque « Les trois cachets », marque qui disparaîtra en mars 1882. ...