... Ainsi, les plantes « solaires », qui portent des fleurs dont la couleur rappelle celle du soleil, sont réputées efficaces dans le traitement des maladies du cœur. ...
Curieuses histoires d'apothicaires
... Le pissenlit (Taraxacum officinale) dont les fleurs sont jaunes comme la bile est indiqué pour le traitement des affections hépatiques selon la théorie des humeurs. ...
... Au xixe siècle, en médecine populaire, le traitement de la rifle ou des teignes se faisait avec un sirop d’écorces de tremble. Une condition cependant : l’écorce doit être prise « dans la sève du bois et dans le plein de la lune ». ...
... Cicéron traite le pharmacopole d’Ancone de « misérable charlatan, drogueur et empoisonneur ». ...
... Il traite aussi certaines maladies de peau. La teinture de benjoin existe toujours en pharmacie et a les mêmes indications. La myrrhe* était aussi recherchée. ...
... Ainsi, une flèche empoisonnée tirée par Paris, le fils du roi Priam, aurait blessé Achille au talon (d’où le talon d’Achille). C’est Vénus qui lui conseilla d’utiliser une plante pour guérir ses blessures, plante qui depuis porte son nom. ...
... L’achillée est connue de plusieurs peuples amérindiens qui l’emploient pour arrêter la diarrhée, comme apéritif, stomachique*, diaphorétique* et pour traiter les blessures mineures. ...
... Médecine de taverne Portrait de Paracelse (1493-1541), copie anonyme du xviie siècle d’un portrait présumé de Paracelse, d’après un original perdu de Quentin Metsys (1466-1530), huile sur bois, Musée du Louvre, Paris. ...
... Il publie en 1533 un traité sur les maladies propres aux mineurs. Il retourne à Salzbourg en 1540 où il meurt l’année suivante dans des circonstances mystérieuses. sa médecine. ...
... chapitre 4 • les miracles de paracelse 53 Il lui donnera le nom de laudanum (laudanum de Sydenham), mot aussi utilisé par Paracelse pour désigner une tout autre préparation (sans opium) qu’il utilisait aussi pour traiter la dysenterie. ...