... L’aventure au xvie siècle, Libre Expression (Montréal) et Berger-Levrault (Paris), 1984, p. 110. ...
Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 1
... À cette époque, 168 acres de terrain à Paris sont requis pour remiser les pièces de bois précieux du Brésil. ...
... En 1537, la seconde édition du traité de botanique de Ruel est imprimée à Bâle. Dans les traités postérieurs à celui de Ruel, on ne décèle pas la terminologie de Cartier qui réfère au mil du Brésil. ...
... Les informations de Cartier sur le maïs sont plus exactes que celles trouvées dans la plupart des traités botaniques de l’époque qui indiquaient que cette plante était originaire de l’Orient. ...
... Sources Bilimoff, Michèle, Histoire des plantes qui ont changé le monde, Albin Michel, Paris, 2011. Létourneau, : Firmin, Histoire de l’agriculture (Canada français), Montréal, L’imprimerie populaire, 1950. commun (Nicotiana tabacum). ...
... Plantes divinisées et pratiques rituelles nahuas dans le Traité des superstitions d’Alarcon (1629) », Recherches amérindiennes au Québec, 1997, 27 (3-4) : 69-83. ...
... H., Voyage de Jacques Cartier au Canada en 1534, [Nouvelle édition, publiée d’après celle de 1598 et d’après Ramusio], Paris, Librairie Tross, 1865. Disponible au http://gallica.bnf.fr/. ...
... Il s’agit probablement d’une figure de style pour indiquer le nombre élevé de rameaux requis pour préparer la décoction suffisante pour traiter près d’une centaine de personnes. ...
... Magnin-Gonze, Joëlle, Histoire de la botanique, Paris, Delachaux et Niestlé, 2009, p. 38. Pelt, Jean-Marie, Ces plantes que l’on mange, Éditions du Chêne, Hachette-Livre, 2006, p. 162. ...
... Le bois est dit saint parce qu’on le suspend dans les églises pour favoriser son action thérapeutique. Un texte du 19 décembre 1516 décrit le traitement avec le bois de gaïac. ...