De l'histoire de l'art à la sémiotique visuelle

De l'histoire de l'art à la sémiotique visuelle

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... Aussi certaines quantifications ont été reportées à la hausse pour les faire coïncider exactement avec les quantifications établies dans le tableau des traits distinctifs (tableau III). ...

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... Jean-Claude GARDIN, Une archéologie théorique, Paris, Hachette, 1979, 339 p. ...

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... André LHOTE, Invariants plastiques, Paris, Hermann, 1967, 172 p. ...

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... Roland BARTHES, Le système de la mode, Paris, Seuil, 1983, p. 131. 61. F. SAINT-MARTIN, Sémiologie du..., op. cit., p. 12. 62. J.-C. GARDIN, «5. ...

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... Nous démontrerons également l’étroitesse des rapports qu’entretenaient Pellan et Breton à Paris. ...

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... Par ailleurs, un article de Renée Arbour-Brachman13 nous apprend que, lors d’une exposition de Pellan à Paris la même année, Breton écrivit ces mots dans le livre des visiteurs: «Toutes les lampes intérieures au pouvoir de mon ami Pellan.» ...

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... Nous pouvons donc dire ici que l’icône possède le caractère qui le rend signifiant et ce, même si son objet n’existait pas: par exemple, Pellan trace les traits d’un dessin représentant une femme, mais rien n’assure que «cette femme-là» existe réellement ...

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... C’est ainsi que nous découvrons que Pellan et Breton se connaissaient et se fréquentaient à Paris au cours des années 30 et même au Québec au début des années 40. ...

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... On sait, par des documents écrits, que Pellan était à Paris en 1954 lorsqu’il a peint L’amour fou. Des mêmes sources extérieures au tableau, on sait qu’il a fréquenté les membres du groupe surréaliste, surtout des peintres, mais également Breton. ...

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... André BRETON, L’amour fou, Paris, Gallimard, 1976. 12. André BRETON, Nadja, Paris, Gallimard, 1964. ...