Dernier assaut (Le)

... Thomas-Louis Tremblay, Journal de guerre (1915-1918), texte inédit, établi et annoté par Marcelle Cinq-Mars, Athéna éditions, coll. « Histoire militaire », 2006, p. 165. 120.  ...

... Entre novembre 1916 et mars 1917, les Canadiens font 338 prisonniers dans le cours de ces opérations. Tim Cook, Shock Troops, op. cit., p. 57. ...

... (En mars, le bataillon ne recevra des lettres qu’à une seule reprise.) ...

... Toujours en mars, Jean Brillant profite du retour d’un confrère au pays pour lui confier une lettre rédigée à l’intention de son frère JulesAndré. ...

... Le 20 mars débute le bombardement préparatoire à l’offensive sur la crête de Vimy. Sentant l’attaque imminente, l’artillerie allemande cherche à riposter. De nombreux combats aériens occupent le ciel. ...

... Le lendemain, 2 avril, le bombardement allié, déclenché le 20 mars, va en s’intensifiant. Sur les routes obstruées, on continue pourtant de véhiculer des canons de tous calibres. ...

... Depuis le 20 mars, la canonnade n’a pas cessé, mettant sérieusement à l’épreuve le sang-froid des armées en présence. L’attaque est remise au dimanche, puis au lundi 9 avril 1917. ...

... Cet état de fait est officialisé le 3 mars suivant par la conclusion du traité de paix de BrestLitovsk. Le traité impose à la Russie des conditions extrêmement sévères. ...

... Dans son journal de guerre, le commandant du 22e, Thomas-Louis Tremblay, note le 23 mars que son bataillon, tenu en alerte les deux jours précédents, demeure en stand-by, prêt à se mettre en route à une heure d’avis. ...

... Le 26 mars, les Alliés ont convenu de la nécessité de désigner un chef qui coordonnera la riposte à l’avancée allemande. ...