Des Attikamègues aux Têtes-de-Boule

Des Attikamègues aux Têtes-de-Boule

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... occidentale du Canada, Paris, 1755. ...

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... Cette route était plus virtuelle que réelle : les administrateurs coloniaux la redoutaient pour des raisons de rentabilité de la traite, tandis que les Têtes-de-Boule n’y recouraient que par crainte : « Il se peut faire qu’il y en ait partie qui aille ...

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... Son confrère Gilles Robert de Vaugondy ne traça pas autrement sa carte de la « Partie de l’Amérique septentrionale » publiée également en 1755 (voir Carte 12 : Extrait de la carte de Gilles Robert de Vaugondy, Partie de l’Amérique septentrionale, Paris ...

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... Carte 13 : Extrait de la carte de Vincenzo Coronelli, Partie occidentale du Canada ou de la Nouvelle France, Paris, 1688. ...

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... Chatelain, Carte de la Nouvelle France, Paris, 1719. ...

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... 112 | Des Attikamègues aux Têtes-de-Boule des terres et des lacs qui y descendent pour traiter »349. Ainsi, les Indiens qui n’étaient pas des habitués des missions se perdaient dans le vague générique Sauvages des Terres. ...

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... Le seul trait commun entre ces deux peuples, qui les décrit l’un et l’autre comme composé de mauvais guerriers quoique bons chasseurs, ne saurait les fondre en une même entité ethnique. ...

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... Tribu originaire de l’autre bassin hydrographique, les Têtes-deBoule devraient donc, théoriquement du moins, présenter plus de caractéristiques de leur culture algonquine-ojibwée initiale que de traits de leur culture montagnaise-naskapie d’adoption. ...

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... perturber ce pays jusquelà tranquille de la hauteur des terres : les Iroquois fondirent soudain sur ces contrées, les missionnaires y projetèrent une mission où ils regrouperaient un ensemble d’Indiens provenant des petites nations limitrophes, et les traiteurs ...

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... 120 | Des Attikamègues aux Têtes-de-Boule les traiteurs rencontraient de plus en plus fréquemment dans la profondeur des bois. ...