Dollard

Dollard

Page 248

... L’année suivante, il monta à Ville-Marie où il s’établit pour le reste de sa vie. ...

Page 250

... D’ailleurs Ville-Marie en avait autrement plus besoin que Québec. ...

Page 251

... Par exemple, il aurait pu se faire un revenu d’appoint en se livrant au commerce des fourrures comme les autres habitants de Ville-Marie ou comme le fera, sur une grande échelle, son successeur FrançoisMarie Perrot. ...

Page 252

... Selon la sœur Marie Morin, il donna aux Hospitalières de l’Hôtel-Dieu les « 6 000 livres qui lui étaient dues par le magasin du roi [à Québec] pour restes de ses appointements, que nous avons touchés et reçus quelques années après, ce qui nous a fait ...

Page 253

... Ainsi lorsque le gouverneur général, M. d’Argenson, vint visiter Ville-Marie en 1659, il aurait pu lui faire une réception comme s’il avait été son subordonné. Non, il s’est conduit d’une façon courtoise, mais sans grands déploiements. ...

Page 254

... De 1642 à 1656, la criminalité a été à peu près nulle à Ville-Marie et, jusqu’en 1665, il n’y eut qu’une douzaine de violations des ordonnances. ...

Page 255

... Le 9 mars suivant, ce fut au tour de la Société Notre-Dame de Montréal de se dissoudre, elle aussi, faute de nouveaux membres. ...

Page 256

... Il la convainquit de devenir membre de la Société Notre-Dame de Montréal, d’être l’économe et l’infirmière de la recrue qui allait fonder Ville-Marie. ...

Page 257

... Marie de l’Incarnation, Marie Guyart (15991672) fut épouse, mère d’un fils (Claude, devenu moine), veuve, religieuse, fondatrice d’une communauté de sœurs, éducatrice, épistolière et fine observatrice des événements quotidiens ; autant dire que cette ...

Page 258

... Morin, Marie (1649-1730) est née à Québec où, à l’âge de 11 ans, elle rencontra Jeanne Mance et ses trois compagnes qui arrivaient de France. ...