... Lebeau Saint-Laurent (Québec) H4N 1S2 Ventes en Europe : Distribution du Nouveau Monde 30, rue Gay-Lussac 75005 Paris ...
Du Saint-Laurent au Rhin
... Pour en lire davantage sur cette question de la peur de l’espion : Gundula Bavendamm, « L’ennemi chez soi », dans Encyclopédie de la Grande Guerre, 1914-1918, sous la direction de Stéphane Audoin-Rouzeau et Jean-Jacques Becker, Paris, Bayard, 2004, p. ...
... La Grande Guerre a généralisé ce phénomène aussi ancien que la guerre elle-même, inaugurant le xxe siècle des réfugiés. » (Annette Becker, Les cicatrices rouges, 14-18 : France et Belgique occupées, Paris, Fayard, 2010, p. 55.) ...
... Pour les Allemands surtout, en Belgique ou en France occupées, la peur du franctireur amène à prendre des populations en otage et à procéder à des exécutions de civils et de notables (John Horne et Alan Kramer, 1914 : les atrocités allemandes, Paris, ...
... Pour plus de détails, voir : John Millen, La chanson populaire en GrandeBretagne pendant la Grande Guerre, 1914-1918 : The Show Must Go On, Paris, L’Harmattan, 2012, p. 84-88. ...
... des chansons, des satires et des scènes de vaudeville travesties. » Pour plus de détails concernant la place du football chez les soldats, voir : Thierry Hardier et Jean-François Jagielski, Loisirs et distractions des poilus pendant la Grande Guerre, Paris ...
... Pour plus de détails, voir : Rémy Cazals, « Tranchées et boyaux », dans Le Chemin des Dames, de l’événement à la mémoire, sous la direction de Nicolas Offenstadt, Paris, Stock, 2004, p. 94-103. 80. ...
... Sur la question de la violence au front en temps de guerre, voir : Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker, 14-18, retrouver la guerre, Paris, Gallimard, 2000, p. 25-105. ...
... Les journaux de Paris et de Londres ne cessent de complimenter le vaillant 22e de cette charge à jamais mémorable93. 17 et 18 septembre Nous nous reposons tandis que les autres sections vont construire des strong points. ...
... Tout, donc, augurait pour le plus mieux et je fus très bien [traité] par eux, quoiqu’au commencement, un ou deux officiers se plaignirent des mets, mais le capitaine leur fit entendre que c’était lui qui menait la boutique et pas eux. ...