... Du côté de la Belgique, on assiste plutôt à la naissance d’une élite « hégémonique », caractérisée par la francisation de la Flandre, où le français incarne les valeurs de la citoyenneté belge12. ...
Élites et le biculturalisme (Les)
... Marie-Thérèse Bitsch, Histoire de la Belgique : de l’Antiquité à nos jours, Paris, Éditions Complexe, 2004, p. 122. 22. ...
... Marie-Claude Rocher et Catherine Drouin, Un autre son de cloche. Les protestants francophones au Québec, Québec et Nicolet, Musée du Séminaire de Québec avec le Musée des Religions et Université Laval, 1993. 9. ...
... Des deux villages ayant fait l’objet d’une étude à caractère micro-historique, le premier, Marieville, dont le topononyme originel, Sainte-Marie-de-Monnoir, renvoie en partie à l’histoire de la Nouvelle-France, est situé dans le Richelieu-Yamaska-Rive-Sud ...
... pa rtie i i • Les franco-protestants au Québec des années 1830 à 1920… 131 comme témoins pour leur représentativité : Sainte-Marie-deMonnoir (Marieville en 1906, toponyme utilisé par la suite dans ce texte) et Roxton Pond (Sainte-Pudentienne en 1875 ...
... Il s’agit des sept congrégations baptistes possédant un pasteur résidant : Montréal, Grande-Ligne, Sainte-Marie[-de-Monnoir], Saint-Pie, Roxton Pond et South Ely. Nombre de localités visitées irrégulièrement ne sont pas mentionnées. 39. ...
... L’Aurore, 3 mars 1894, p. 4. 58. ...
... Damase Guillet (1829-1898) épousa en secondes noces, en 1861, Isabella Marie [Maria] Montgomery, fille d’un meunier anglophone fréquentant l’Église baptiste de Marieville. 66. ...
... Séance du 14 mars 1898, Règlement no 92, PVMVM, p. 148-155. 70. ...
... Hinault, 2011 1 Village de Sainte-Marie-de-Monnoir (ville de Marieville en 1906), sous-représenté alors que l’église baptiste y est localisée. ...