Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

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... Les Blancs trouvés dans la même situation n’étaient pas traités différemment, mais ils étaient moins facilement repérables. ...

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... Le journal demeuré dans cette ville, et qui a fini par se suicider40*  utilise une argumentation qui est encore d’actualité un siècle et demi plus tard (à Montréal, du moins) : « […] il ne faut pas confondre la libéralité avec la faiblesse […] les traits ...

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... L’architecte et urbaniste Le Corbusier pensait sans doute à la même chose, en 1924, lorsqu’il observait l’intense circulation sur les Champs-Élysées à Paris : « On sort de chez soi et, la voûte passée, sans transition, nous voici tributaires de la mort ...

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... LE CORBUSIER, Urbanisme, Paris, Flammarion, 1994, p. II-III et note 1 (éd. ­ originale en 1925). 28. CF, 13 août 1925, p. 4, « Une épidémie ». 29. CF, 12 septembre 1929, p. 5, « Pénible accident ». 30. ...

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... 14 » En effet, des gens craignaient que les enseignes de bois qui battaient au vent en grinçant ne se décrochent et tombent : « Il serait à désirer […] qu’à l’instar des grandes villes, telles que Paris, Montréal, etc., un règlement municipal fasse disparaître ...

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... des gamins ; mais une pareille chute peut devenir très sérieuse pour des personnes âgées ou infirmes23. » Les trottoirs n’étaient pas toujours construits avec du bois imputrescible, comme le cèdre, et j’ignore si les madriers utilisés recevaient un traitement ...

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... Molleur n’oublia pas le procédé, car, deux ans plus tard, il sert le même traitement à un certain M. Boudreau (libéral  ?) dans les pages de son journal  : « Des cendres ou du bran de scie sur les trottoirs ne ferait pas de mal. 28. ...

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... Des améliorations font alors passer cet hôpital à l’ère moderne ; elles coïncident avec l’adoption, en 1921, de la loi provinciale de l’assistance publique, qui assure à l’hôpital une aide financière gouvernementale pour le traitement des indigents. ...

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... Vocation de l’hôpital L’hôpital d’aujourd’hui est un établissement qui soigne et traite pendant un temps limité les malades, les blessés et les parturientes, tandis que, dans l’hôpital (général) d’autrefois, des personnes ne requérant aucun traitement ...

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... Comme la blessure exigeait un traitement suivi et que, pour cela, il fallait que le patient demeurât dans l’institution, la directrice s’enquit pour savoir qui paierait les frais. C’était tout naturel mais on s’en offusqua. ...