... Viau écrit : À Ville-Marie, on sait que dès 1644 les colons s’assemblaient périodiquement pour délibérer des affaires locales et d’intérêt commun, comme la traite des fourrures et la planification des défrichements. ...
Émergence de Montréal dans le système urbain nord-américain (L')
... Paul Bairoch, De Jéricho à Mexico : Villes et économie dans l’histoire, Paris, Gallimard, 1985, p. 382. ...
... 1670, les trois nouveaux associés et leurs co-actionnaires fondèrent la Compagnie de la Baie d’Hudson (appelée à l’origine Company of Adventurers of England) avec l’accord de Charles II qui lui accorda les pleins pouvoirs, y compris le monopole de la traite ...
... Gabriel Marcel, Reproductions de cartes et de globes relatifs à la découverte de l’Amérique, Paris, Ernest Leroux, 1894, p. 193. 24. Marcel Trudel, Histoire de la Nouvelle-France, tome IV, op. cit., p. 517. ...
... L’essentiel des poussées expansionnistes que Versailles n’arrivait pas à freiner partaient d’un même point, Montréal, centre névralgique de la traite des fourrures. ...
... Si le Pacifique avait été atteint par les Français avant 1763, peut-être la France y aurait-elle pensé deux fois avant de renoncer au Canada pour récupérer la Guadeloupe et la Martinique lors du traité de Paris. ...
... Quatre jours plus tard, le 7 novembre, Louis II Phélypeaux, comte de Pontchartrain, héritait du secrétariat d’État de la Marine, de la Maison du roi et de Paris, ministère dont relevaient les colonies. ...
... Camille Rousset, Histoire de Louvois et de son administration politique et militaire, Paris, Didier et cie, volume 3, 1868, p. 507. 9. ...
... Cette guerre se termina par le traité d’Utrecht de 1713, puis par le traité de Rastatt de 1714. ...
... Il semblait qu’une ou deux défaites françaises supplémentaires auraient suffi pour que Paris et Versailles soient menacés par la ligue. Financièrement et militairement, la France était à bout. ...