... C11A, vol. 31, f. 24, Vaudreuil et Raudot au ministre, Québec, 2 novembre 1710 ; C11A, vol. 30, f. 425, La dame Vaudreuil, Paris, 1709 ; C11A, vol. 28, f. 143, Vaudreuil au ministre, Québec, 5 novembre 1708 (« estime ») ; C11A, vol. 24, f. 245v ; White ...
Empire et métissages, 2e édition
... En juin 1684 La Barre et ses associés dans la traite, rejetant toute solution diplomatique, font le choix de la guerre6. ...
... Bois, Les guerres en Europe, 1494-1792, Paris, Belin SUP, 1993, p. 30-31, 299 ; R. Descimon, C. Jouhaud, La France du premier xviie siècle, 1594-1661, Paris, Belin SUP, 1996, p. 93. 28. ...
... C’est à une réflexion critique sur l’alliance elle-même que se livrent les Outaouais, alliance qui leur paraît « nuisible tant pour le commerce que pour la guerre » selon Carheil : pour la traite parce les Français font obstacle aux relations d’échange ...
... On peut voir en effet dans une telle tactique un trait de la politique amérindienne, mais rien n’est sûr à cet égard. On a déjà dit que le jeu des factions est d’abord un modèle européen de compréhension du politique. ...
... Dans l’immédiat, et tout en ménageant ses intérêts dans la traite, Frontenac dépêcha une flottille dans l’Ouest sous la direction de Louvigny et de Perrot. ...
... L’utilisation de l’alcool dans la traite était aussi un facteur habituel de violence. ...
... Naissance de la prison, Paris, Gallimard, 1975 ; F3, vol. 24, f. 157r, Louisiane, le 17 juin 1723. ...
... Un autre épisode de résolution judiciaire intervient en 1683 à Michillimakinac, quand Daniel Greysolon Dulhut prend l’initiative de punir le meurtre de deux traiteurs français, Jacques Le Maire et Colin Berthot, tués durant l’hiver 1683 à la baie de Kiaonan ...
... Si le gouverneur voulait bien « pardonner » certains meurtres de Français, c’est en partie parce que ces traiteurs prenaient le risque de traiter avec les Sioux, en marge du Pays d’en Haut94. 93. ...