Empire et métissages, 2e édition

Empire et métissages, 2e édition

Page 91

... À la même époque, peut-être pour les mêmes raisons, des Poutéouatamis quittent la péninsule du Michigan pour se réfugier au Sault Sainte-Marie, puis le long de la baie des Puants39. ...

Page 104

... 104 empire et métissages Sauteurs, au Sault Sainte-Marie, entre 1640 et 1670. ...

Page 108

... La ligue du Pays d’en Haut, qui n’était nullement une confédération à l’iro­ quoise, semble avoir connu trois ou quatre « feux » principaux dans la seconde moitié du xviie siècle : l’embouchure de la baie des Puants, Boweting (le Sault Sainte-Marie), ...

Page 109

... La population du Sault Sainte-Marie est estimée à « 2000 âmes » par un jésuite vers 1640 (Margry, op. cit., t. 1, p. 46). 85. JR55, p.  156 (Dablon). ...

Page 115

... Il ne dispose certes pas du pouvoir de lever des troupes, et n’incarne pas sa nation comme le souverain européen son État, mais il lui est loisible d’amorcer un conflit et de répandre la violence. ...

Page 135

... Les conséquences des mariages inter-groupes sont mises en évidence par Nicolas Perrot, qui écrit qu’en cas de guerre intertribale « le frère tüera son frère, le cousin son cousin, et [...] on se détruiroit soy-mesme ; car estant mariés et liez si fortement ...

Page 136

... Dulhut évoque un Ménomini « ayant frere, sœur, et oncle dans le vilage des Kiscacons », au Sault Sainte-Marie. ...

Page 151

... Saint-Lusson, probablement conseillé par Nicolas Perrot, fixe le lieu de la cérémonie au Sault Sainte-Marie (Boweting), centre habituel de la diplomatie autochtone où se réunissaient chaque été une partie des Indiens des lacs et où les jésuites avaient ...

Page 153

... Marie St. Ignace Michillimakinac St.François Xavier Ft. ...

Page 157

... L’attaque du fort Saint-Louis par 200 Iro­quois, en mars 1684, est repoussée par la défense acharnée d’une cinquantaine d’hommes, dont la moitié sont des Indiens. Les assaillants se retirent après six jours d’un siège infructueux28. ...