Empire et métissages, 2e édition

Empire et métissages, 2e édition

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... Les citations suivantes sont extraites de la même lettre. ...

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... Voir aussi C11A, vol. 30, f. 236-237, Raudot fils au ministre, Québec, 1er novembre 1709; C11A, vol. 26, f. 132, lettre de mr de la mothe a mr de vaudreuil du fort Pontchartrain, 1er octobre 1707. 90. ...

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... Frontenac, dans une lettre à Bellomont, le gouverneur de la Nouvelle-York, affirmait de son côté que les « nations éloignées » étaient « sous la domination du Roy »117. Le statut exact des Amérindiens, au vrai, importait ici assez peu. ...

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... Le gouverneur Vaudreuil, dans une lettre à son homologue new-yorkais, écrit ainsi en 1711 à propos des alliés : « Ces nations sont a nous par l’amitié qu’elles ont toujours eu pour la nation françoise mais elles ne sont pas assez dans notre dépendance ...

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... C11A, vol. 31, f. 112v, Lettre [de Vaudreuil] a Mr Nicolson du 14 janvier 1711 ; Y. Durand, « Nation, nations », in Bély, éd., Dictionnaire ; Jaenen, Les relations, p. 28. 122. ...

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... Lahontan, en poste au fort Saint-Joseph en 1688, et dans l’attente de lettres, écrit par exemple : « J’aurai tout le temps de m’ennuyer en attendant ce plaisir-là ». De 4. Béland, Chansons de voyageurs, coureurs de bois et forestiers, p. 138. 5. ...

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... Cette formule, récurrente, sertit les lettres du Pays d’en Haut ; elle exprime le franchissement d’une frontière culturelle, en l’occurrence alimentaire. ...

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... La Durantaye, pour sa part, termine ainsi une lettre destinée au gouverneur La Barre : « Sy je suis obligé descrire il me faudra servir d’escorces n’ayant pas de papier ». ...

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... Si ce tableau est en partie atypique (il y eut peu de familles et d’enfants français à s’installer de la sorte dans l’Ouest, et les Indiens, adultes comme enfants, firent rarement l’apprentissage de la langue française), il offre l’image réduite de l’ ...

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... Denon­v ille écrit que « ces dereglemens [...] se trouvent bien plus grands dans les familles de ceux qui sont gentilshommes, ou qui se sont mis sur le pied de le vouloir estre soit par faineantise ou par vanité n’ayant aucune resource pour subsister ...