Entre poudrés et pouilleux

Entre poudrés et pouilleux

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... Le Français était traité comme un égal. D’un don qu’ils offraient généreusement, ils attendaient un contre-don d’égale valeur effective ou symbolique. Toutes les décisions se prenaient à la suite de longs palabres. ...

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... Il était trop risqué, à Paris, de publier secrètement. Peut-être trouverait-on chercher du côté des imprimeurs rouennais ou lyonnais. ...

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... Catherine se souvint que le père de son époux avait étudié à Lyon et qu’il avait logé à Paris des étudiants lyonnais. Pourrait-elle en trouver la trace ? Elle se plongea dans les papiers de famille. ...

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... Elle parcourut avidement ces pages, retenant au passage quelques-uns des sujets traités : la peau, les cheveux, les dents, l’estomac, le cerveau, les douleurs. Tout y était, ou presque. ...

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... Il respectait son savoir-faire sur les métaux, mais de là à conclure à leurs effets bénéfiques dans le traitement des maladies, il y avait une distance qu’il ne pouvait se résoudre à franchir. ...

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... Elle fit valoir ses connaissances pratiques sur le traitement des minéraux. Elle signala que les alchimistes les plus sérieux, comme Paracelse, avaient tous travaillé un jour dans les mines. ...

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... Docteur régent de la Faculté de médecine de Paris, il a publié en latin en 1635 le premier livre de plantes du Canada, d’ailleurs remarquablement illustré. ...

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... La famille Sevestre, imprimeurs et libraires jurés de Paris, a également existé. Elle a effectivement publié le récit de Samuel de Champlain en 1632 et plusieurs livres d’alchimie. ...