... La première lettre (du moins celle qui apparaît aux archives du diocèse) en fait foi. ...
Étienne Chartier
... La lecture des lettres des 5, 12 et 13 octobre qu’il adresse à son évêque permet de revivre cet autre épisode difficile dans la vie de ce curé pas comme les autres. ...
... Mis au courant de la dénonciation dont il avait été la victime de la part de son notaire paroissien, Étienne Chartier fit preuve d’une grande habileté en faisant tenir sa lettre à Sa Grandeur par Julien Benoît, « un de mes plus notables paroissiens de ...
... votre lettre du 7, par laquelle j’appris que les pouvoirs que Votre Grandeur m’avait ...
... Dans la longue lettre du 12 octobre, il rappelle certains faits à Mgr Prince : Monseigneur… Je suis positif à dire que je n’ai point refusé St-Polycarpe ; ma lettre ne comporte rien de semblable, qui ne fut d’ailleurs jamais dans ma pensée. ...
... La lettre qu’il adresse à Mgr Prince, le 12 février 1847, laisse voir la profondeur du fossé qui séparait l’évêque et son curé. ...
... équivoque : À cela je réponds, Monseigneur… Oui je nie, et je nie péremptoirement, à l’évêque le droit de surseoir à l’effet de son propre décret verbalement ou personnellement comme s’exprime Votre Grandeur ou par une simple missive, ou même par une lettre ...
... Perdues au milieu de cette longue lettre revendicatrice, quelques lignes rappellent fort à propos que cette querelle vient de ce que Mgr Prince, en l’absence de Mgr Bourget, avait interdit au curé Chartier de célébrer le mariage de deux paroissiens du ...
... justes et raisonnables Sûr de lui, Étienne Chartier déclare solennellement qu’il se pliera toujours aux ordres et exigences de ses supérieurs et qu’il leur sera soumis, quand ces ordres seront « justes et raisonnables » : Quant à la conclusion de votre lettre ...
... Ce n’est que dans la toute dernière phrase de sa lettre qu’il demande presque une faveur : Comme ce sera suivant toute probabilité la dernière année que j’aurai à passer dans le diocèse, je voudrais n’être pas si accablé d’ouvrage que je n’aie un peu ...