... C’est la question qu’il pose à Mgr Lartigue en conclusion de sa lettre, y ajoutant même un souhait en forme de cri du cœur et en prenant bien soin de souligner les trois derniers mots : « Enfin, Monseigneur, pour conclusion je ne puis ajouter autre chose ...
Étienne Chartier
... Mais la famille à qui je faisais allusion dans ma dernière lettre, qui jusqu’à présent a tout mené dans la paroisse, qui paraît intéressée à ce que les comptes ne se rendent pas, s’y oppose. ...
... rébellion de 1837-38 à Saint-Benoît, il consacre quelques lignes au « patriote en soutane » qu’était le curé Chartier : C’était un beau et bon prêtre, plein de zèle ; tout son crime consistait à sympathiser avec les patriotes et de ne pas obéir à la lettre ...
... De son presbytère de Saint-Benoît, le 4 juillet, il adresse à La Minerve une lettre qui paraîtra deux jours plus tard : Mr l’Éditeur… J’attendais que vous me rendiez le service et la justice en même temps de relever l’avancé mensonger que le journal qu ...
... À sa lettre, la direction de La Minerve a cru bon ajouter la note suivante : Il ne sort pas un numéro de ce journal français qui ne soit marqué au coin du mensonge et du fanatisme. ...
... Mais dans cette lettre signée d’Ignace Bourget, et non de Mgr Lartigue, il est question de beaucoup plus que du simple voyage à Saint-Pierre. ...
... Inspirée par Mgr Lartigue ou non, la lettre du vicaire général Bourget a irrité et surtout blessé profondément Chartier. La réplique vint drue et cinglante, dès le 11 juillet. Elle s’adresse à « Monsieur » Bourget ! ...
... Cette précision étant apportée, Chartier s’attaque à la seconde partie de la lettre de Monsieur Bourget, celle qui contient tous les reproches. ...
... Si la lettre de Mgr Lartigue en date du 12 juillet 1837 semble mettre un point final à cette loufoque affaire de la grande assemblée de Sainte-Scholastique, les dernières lignes nous font retrouver un Lartigue peu enclin à faire preuve de compassion ou ...
... Dans une autre lettre, en date du 25 août, Chartier dit à son évêque combien il est triste et découragé. La somme de travail qu’il doit fournir à Saint-Benoît et à Saint-Hermas est telle qu’« une force surhumaine pourrait à peine suffire ». ...