... De nombreuses familles ont déjà mis en route un processus d’exclusion, encore une fois là où elle est possible, utile, souhaitable ou nécessaire, mais bien souvent rien n’est encore joué à la mort du père. 3) Enfin une chose est apparue avec évidence. ...
Exclus de la terre en France et au Québec, XVIIe-XXe siècles (Les)
... Famille, économie et société rurale en contexte d’urbanisation (XVIIe-XXe siècle). Chicoutimi/Paris, Centre interuniversitaire SOREP/École des Hautes études en Sciences sociales, 388 p. B, Bernard (1994). ...
... Ces chiffres ne sont pas à prendre au pied de la lettre, mais représentent des approximations acceptables, établies à partir des estimations démographiques du XVIIIe siècle et des recensements du début du XIXe siècle. 7. ...
... L’exclusion des filles est un moyen indispensable de préservation du bien dans la famille, tandis que de ce point de vue, la situation des garçons est opposée. Puisqu’ils sont continuateurs de la lignée, pourquoi les exclure de la succession ? ...
... patrimoine et la famille sous un autre angle que celui du lignage : l’angle communautaire. ...
... Dès après la première guerre, on verra se ternir l’aura des dernières bonnes familles terriennes. ...
... Ces familles se caractérisent sur le plan démographique, par une forte natalité (8 naissances en moyenne par famille), des mariages endogames (entre voisins ou dans les paroisses voisines), une certaine propension aux renchaînements d’alliances qui n’ ...
... Pour terminer cet aperçu, signalons que le manuscrit du recensement canadien de 1901 inscrit 15 % de célibataires de plus de 35 ans et 4 % de familles-souches complètes, c’est-à-dire avec les deux parents vivants. ...
... Cette pratique se voit dans les familles où il n’y a qu’un seul fils successible. Ce qui est en cause ici, c’est ...
... C’est l’usage des familles qui ont peu de garçons, soit de deux à quatre, et qui possèdent un minimum de 150 arpents de terre faite. ...