... Outre l’éclairage qu’ils portent sur la situation des veuves dans cette société paysanne, ces chiffres sont des signes du rôle de celles-ci dans la transmission, tout particulièrement dans les familles où le patrimoine foncier est presque inexistant du ...
Exclus de la terre en France et au Québec, XVIIe-XXe siècles (Les)
... Le fils aîné de cette famille « Estève », Jean-Bernard, s’était marié « en gendre » en 1800, sa sœur, Jeanne-Marie, ayant pu être mariée au village, après la naissance d’un enfant naturel, en 1805. ...
... Les branches cadettes de la famille « Estève », Esparros, Hautes Pyrénées : maisons « Estève de Belle » et « Estève de Claire » Tableau 3 La reproduction familiale en milieu paysan ...
... Antoine, leur frère, le cadet de cette famille, sabotier comme les autres, parvient à se marier à 31 ans, en 1851, et s’installe à la montagne, en construisant un chalet au quartier « Millaris », sur une parcelle communale, non loin de son frère aîné, ...
... Dans cette famille nouvellement fondée (1807), malgré l’absence de patrimoine foncier, on obéit, plus nettement que dans la branche « Estève de Claire », aux usages coutumiers de la famillesouche : le futur héritier de la maisonnette « Estève de Belle ...
... Baptiste et Etiennette décèdent à quelques semaines d’intervalle, en 1871, suivant de peu dans la mort leur fils aîné, Louis (qui était cordonnier et père de famille) : ces décès en série, dans une même maison, semblent le fait d’une épidémie. ...
... Cette maison « Luret » peut être considérée comme une « bonne » famille d’Esparros, une famille souche classique qui se transmet depuis ...
... Le sort des épouses et des veuves est-il plus enviable dans les familles plus notables ? ...
... Des trois enfants, l’héritier désigné de cette famille aisée est le fils aîné, Laurent, vétérinaire au village, qui a épousé Rose, fille du vieux vétérinaire Rumeau. ...
... en 1878. ...