Exode québécois. 1852-1925 (L')

Exode québécois. 1852-1925 (L')

Page 171

... François WEIL, «  Migrations, migrants et ethnicité  », dans Jean Heffer et François Weil, Chantiers d’histoire américaine, Paris, Bélin 1994, p. 421. ...

Page 193

... Représentations de l’immigration et esquisses d’une action de l’État québécois, 1945-1986, Thèse de doctorat en histoire, Québec, Université Laval, 1995, p. 35. ...

Page 222

... L’auteur cerne la notion de conscience diasporale en s’inspirant de François Paré pour qui cette notion se résumerait à «  la création d’un imaginaire positif du déracinement et de l’errance » : François PARÉ, La distance habitée : Essai, Ottawa, Le Nordir ...

Page 226

... Gérard LEBEL, « François Bacquet dit Lamontagne », dans Gérard Lebel, Nos ancêtres, no  16, À compte d’auteur, Sainte-Anne-de-Beaupré, 1989, p.  15 s. ...

Page 227

... C’est dans ce contexte que l’arrière-petit-fils de François Bacquet dit Lamontagne, Simon Bacquet, grand-père de Théodore-Jean, s’installe dans la paroisse agricole de Saint-Charles-de-Bellechasse. ...

Page 228

... Albert LAMONTAGNE, « Descendance de François Bacquet dit Lamontagne », L’Ancêtre, vol. 8 no 3 (novembre 1981), p. 73, 75. 76. CARRIER, op. cit., p. 245. ...

Page 233

... Voir, à propos de ce concept, la discussion de Martin PÂQUET, « Introduction », dans Martin Pâquet et Stéphane Savard, Balises territoriales et références identitaires, Québec, Presses de l’Université Laval, 2007, p. 5-7. ...

Page 285

... Il souligne le cas de la paroisse de Saint-François-Xavier, dans le comté de Champlain, dont la moitié des familles s’en sont allées, dans les années 1880, à Meriden, au Connecticut. ...

Page 292

... France LEHOUX, « Développer un sentiment d’appartenance », site Internet du Centre d’aide aux étudiants, Université Laval : http://www.aide.ulaval.ca/sgc/pid/1369 (Page visitée le 15 juillet 2010). ...

Page 300

... Étudiant en droit à l’Université Laval de Montréal, Yvon se trouve un bon jour dans une situation où il doit négliger son courrier en raison de ses examens. «  Chère Amélie […]. Je néglige un peu ma correspondance. ...