Exode québécois. 1852-1925 (L')

Exode québécois. 1852-1925 (L')

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... Elle est la première femme de lettres du Canada français à afficher cette audace91. C’est un succès qui place encore une fois la famille à l’avant-scène. ...

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... Des lettres parveAmanda, Émile Nelligan. nant de l’un ou de l’autre des enfants Photo publiée dans Jean-Thomas Larochelle, de Théodore-Jean indiquent que les Notre Temps, 6 décembre 1952. liens de la famille avec Émilie-Amanda Hudon ne seront jamais coupés ...

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... Leur évocation permet de contextualiser une expérience migratoire particulière et une appartenance propre à la famille Lamontagne. ...

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... Leur histoire conversationnelle fait voir que la fratrie continue à se nourrir des traditions, valeurs et règles héritées de la famille et qu’elle véhicule des traits culturels que tous partagent. ...

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... La clé de voûte de cet assemblage et le ciment de leur appartenance est le père de famille. ...

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... On a vu de plus que la famille a augmenté son capital social en étendant toujours davantage ses réseaux de contacts. ...

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... Du noyau initial solidement tricoté, nous en arrivons en fin de parcours à une famille géographiquement éclatée, bien que toujours solidaire. D’une unité domestique issue de la campagne sont nés des citadins. ...

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... L a lettre personnelle s’est présentée dans cette étude en tant que véhicule d’une expérience migratoire particulière à la famille Lamontagne et à la fois partagée avec la communauté canadienne-française dans son ensemble. ...

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... Par la lettre, ils se recomposaient une famille, épanchaient leurs souffrances, comblaient les absences. ...

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... Chaque fois, le champ épistolaire de la famille se reconfigurait. Par ailleurs, relevons une évidence antérieurement démontrée, soit le fait que les frères et sœurs Lamontagne s’écrivent par nécessité. ...