Faire de l'histoire au Québec

Faire de l'histoire au Québec

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... Pour une analyse plus approfondie, voir Pauline-Marie Rosenau (1992 : ch. 4). Les défis de la profession d'historien sont également évoqués dans Joyce Appleby, Lynn Hunt et Margaret Jacob (1994). ...

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... En outre, je ne voudrais pas que quiconque considère Groulx comme l'incarnation de l'ensemble des historiens à l'œuvre durant la période cou­ verte par ces trois chapitres. ...

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... Fournier relève le cas du frère Marie-Victorin qui, même s'il n'avait pas reçu de formation univer­ sitaire, fut choisi en 1920 pour superviser l'enseignement des sciences naturelles à la nouvelle Faculté des sciences de l'Université de Montréal. ...

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... 28 Faire de l'histoire au Québec autonome, comme l'incarnation de cette institution, à cause de son adhésion « à la fois [ ...] [à] l'idéologie clérico-nationaliste et [ .. .] [à] l'idéologie libé­ rale». ...

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... Langelier à Hector Garneau, 9 mars 1 9 14. ...

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... Sous cet angle, Groulx appartenait au principal courant intellectuel du début du siècle, en compagnie d'hommes comme Marie-Victorin, Édouard Montpetit et Alphonse Desjardins qui, tous, estimaient que certains aspects de la société québécoise traditionnelle ...

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... En dernière analyse, il semble bien que Mont­ petit, Marie-Victorin et les fondateurs de l' ACFAS n'aient pas été aussi complètement « modernes >> que le prétendent Gingras et quelques autres ; de même Groulx et ses collègues n'étaient-ils pas aussi « ...

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... Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, la plupart des pionniers - tels le frère Marie-Victorin et le père Georges-Henri Lévesque - avaient cédé leur place à une nouvelle génération formée à l'extérieur du Québec et revenue y transmettre son savoir ...

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... La Fontaine avait, selon Groulx, incarné la détermination indomptable des Québécois à lutter pour leur survie contre des forces infini� ment supérieures. ...

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... Dans une mise en garde semblable contre une telle méprise, Yves Gingra:s (1996 : 172) a pris la défense du frère Marie-Victorin, qui employait le même mot ; le botaniste, écrivit Gingras, ne l'utilisait que pour « désigner une commu­ nauté sociale, une ...