Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

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... Ils sont baptisés, mariés et enterrés par le curé. ...

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... Marie-Louise n’a que dix-neuf ans, encore loin d’être une vieille fille, et son frère Étienne la trouve déjà en retard et lui fait des allusions mordantes. ...

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... SIÒCLE — Qu’est-ce que tu fais, Marie-Louise, que t’es pas capable de trouver chaussure à ton pied ? Si ça continue, tu vas monter en graine, pi faire une vieille fille ! (p. 229). ...

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... Une famille paysanne selon Le Survenant et Marie-Didace de Germaine Guèvremont, Montréal, Éditions Beauchemin, 1945, 1947 Dans Le Survenant et Marie-Didace (suite du premier), la représentation que l’auteure esquisse d’une époque révolue est plutôt nostalgique ...

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... Une famille de trois générations vivant sous le même toit s’est ainsi éteinte, laissant seule la petite Marie-Didace. L’histoire se termine vers 1916, ...

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... Toutes les citations de ces deux romans sont tirées du Survenant, Montréal, Fides, 1971, et de Marie-Didace, Montréal, Éditions Beauchemin, 1947. ...

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... L’auteure a très bien rendu l’idée forte de la continuation de la famille chez le cultivateur par la belle description de l’état psychique du père Didace à la naissance de la petite Marie-Didace. ...

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... Le père Didace dit à sa fille Marie-Amanda avant sa ...

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... Il recommande aussi à sa fille Marie-Amanda de faire régner la concorde entre ces deux femmes qui ont des vécus tout à fait différents. Alphonsine a perdu sa mère à six ans. Son père était un ivrogne. ...

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... En plus de tout cela, elle sait se faire aimer du vieux et de la petite Marie-Didace. Elle gagne même la sympathie d’Angélina. ...