Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

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... Mariée à l’île de Grâce, elle est toujours prête à donner un coup de main à ses parents. ...

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... Le réconfort de Marie-Amanda soulage momentanément sa détresse. Lorsque sa meilleure amie Angélina souffre de chagrin d’amour après le départ du Survenant, c’est encore Marie-Amanda qu’on appelle à la rescousse. ...

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... Pierre-Côme s’occupe de l’Acayenne, de l’enquête, de l’enterrement et de tout le grément ; sa femme et ses filles, de Phonsine ; Angélina, de Marie-Didace. ...

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... C’est pourquoi Marie-Amanda dit à Alphonsine, lorsque celle-ci lui confie la crainte de voir le fils Varieur venir s’installer chez les Beauchemin : — Prends pas peur avant le temps. ...

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... Elle se marie avec Emmanuel qu’elle n’aime pourtant pas, mais qui lui servira de paravent, lui assurera la sécurité et le salut. ...

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... Que le fils d’un marchand d’objets de piété, respectable et nanti, se marie avec la fille d’une femme de ménage et d’un menuisier qui se sont mis pour un temps à leur service, voilà qui rebute particulièrement monsieur Létourneau. — Folie ! ...

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... , si c’est contre ton gré que tu te maries, si t’aimes que’qu’un d’autre, il n’est pas trop tard. ...

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... Cet attachement à la famille déjà constituée marque profondément les femmes mariées de l’époque, d’autant plus qu’il est encouragé par l’opinion publique et l’enseignement religieux. ...

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... Rose-Anna se résigne comme sa mère, de façon presque stoïque, au sort qui est réservé à une femme mariée. Elle accomplit de façon admirable son devoir d’épouse. ...

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... Le roman se déroule de la mi-mars au début de juin 1940. Plus de six mois se sont passés depuis la déclaration et la ville de Montréal baigne dans l’atmosphère de la guerre. La radio, les journaux rapportent les nouvelles du front de l’Europe. ...