... David Riesman, La foule solitaire : anatomie de la société moderne, Paris, Éditions Artaud, 1964, p. 44-45. ...
Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle
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... Son immense amour maternel couvre tous ses enfants, y compris Azarius qu’elle traite parfois comme tel quand elle le console des coups durs de la vie. Elle aime ses enfants, qui constituent sa seule richesse et son seul espoir. ...
... Antoine a envie de prouver qu’il est capable de vivre sa vie sans personne à ses côtés pour lui dire quoi faire, qu’il n’est pas un gars qu’on peut traiter n’importe comment, qu’il peut décider de son sort seul. ...
... Certains d’entre eux (François, Michel, Marie-Lyre par exemple) vont chercher leur diplôme prestigieux en Europe, à Paris en particulier. ...
... Ayant tiré un trait bien propre au bas de son dossier, elle revint au début de son cahier, à la page des prospects où elle inscrivit en fin de colonne le nom Aldo B. avec la mention « trente-cinq ans, beau sourire ». ...
... Leur relation devrait être rompue là-dessus, mais elle dure encore un an et demi jusqu’en été 1974, au moment où Michel part à Paris pour faire son doctorat. Entretemps, survient un court moment de réconciliation. ...
... Voir Erving Goffman, Les rites d’ interaction, Paris, Éditions de Minuit, coll. « Sens commun », 1974 ; ou Interaction Ritual, New York, Anchor Books, 1967. 19. Voir Chang, op. cit., p. 34. ...
... Il ne nous appartient pas de traiter ici le problème démographique que la société québécoise rencontre aujourd’hui. Contentonsnous de relever trois raisons que l’auteure laisse entendre dans le roman. D’abord, la conception de la maternité a évolué. ...
... (Voir son livre, Naissance de la famille moderne, XVIIIe -XX e siècle, Paris, Seuil, 1977, p. 337.) ...
... Les parents finissent par traiter leurs enfants en égaux et deviennent permissifs. Le lien du sang et la solidarité parentale n’en demeurent pas moins forts. ...