... Il semonce à la confesse Cécile à propos de son amour, pourtant bien chaste, pour un homme marié. Il défend à la gendarmerie royale d’arrêter Guillaume qui a outragé les souverains anglais : « It is my business. It is my parish, you know. ...
Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle
... Au moment où elle découvre l’amour, il lui est inaccessible : Onésime s’est marié avec une autre. Mais ils continuent à se fréquenter comme de vieux amis. Onésime vient tous les jours, après le travail, dire bonjour à Cécile. ...
... Il doit se contenter toute sa vie d’un petit salaire, acceptant de travailler comme aide-cuisinier, ambulancier ou employé du magasin de disques, et il se marie enfin avec Rita. Par comparaison avec Ovide, Napoléon est un homme sans complication. ...
... Nous pouvons présumer qu’ils se sont mariés entre 1895 et 1896. Joséphine a eu vingt-deux maladies. ...
... Les valeurs qu’elle incarne et l’autorité dont elle témoigne sont sans cesse contestées par ses enfants. Les chicanes qu’elle a eues avec eux la rendent lasse. Elle ne se sentait plus de taille à lutter. ...
... Si elle s’était mariée, si elle n’avait pas mis de côté 422,48 $ à la banque, que deviendrait sa famille, après le congédiement de son père ? Elle a le droit de réclamer à ses frères de travailler dès que possible pour partager la charge familiale. ...
... Dans Le Survenant et Marie-Didace, la paroisse joue autant que la famille pour transmettre les valeurs. Dans Les Plouffe, la famille paroissiale se désagrège. Elle perd en importance. ...
... Est-ce qu’on peut dire, par là, que la naissance ou la survivance de Marie-Didace symbolise déjà la fin d’une époque, celle des hommes de la terre et le début d’une autre, marquée par les femmes et les villes ? ...
... Ou bien les filles, une fois mariées, vont rester au foyer comme leur mère ? ...
... Le contremaître, intransigeant, se met en colère : — Viens pas me dire qu’on gèle dehors, mon p’tit gnochon, on est en mars et pis y fait 30 degrés ! À part ça, nous autres, tes bobos ça nous regarde pas ! ...