... Julia Zimmerlich et collab., « L’histoire de la traite négrière en France », Ça m’intéresse : l’histoire en continu, 10 mai 2017. 6. ...
Filles du Roy pionnières de la Seigneurie de Repentigny (Les)
... Gervais Carpin, Le Réseau du Canada : études du mode migratoire de la France vers la Nouvelle-France, Québec, Paris, Septentrion, Presses de l’Université de Paris-Sorbonne, 2001. ...
... Médréac est une commune située à 35 km à l’ouest de Renne, 25 km au sud de Dinan et à 6 km de la route nationale ralliant Paris à Brest. Située dans le canton Montauban de Bretagne et du pays de Brocéliande. ...
... Elles sont formées par l’Hôtel-Dieu de Paris et elles doivent passer deux examens devant des chirurgiens-jurés pour ensuite prêter serment1. Posons l’hypothèse qu’en arrivant ici les pionnières se sont d’abord « débrouillées » entre elles. ...
... (vers 1655-1733) Autres graphies : Perreault, Perrault, Perot, Perrot Origine M arie, née vers 1655, était la fille de feu Anselme Chrétien, bourgeois, et d’Anne Bernard, de la paroisse Saint-Sulpice dans le faubourg Saint-Germain de la ville de Paris ...
... Louise Dechêne, Habitants et marchands de Montréal au xviie siècle, Paris, Plon, 1974, p. 273. 21. La chapelle de Repentigny est construite en 1678 près du manoir du seigneur par des colons. ...
... Le danger ne vient pas seulement des Iroquois qui veulent éloigner les Français de la traite des fourrures dans l’Ouest, mais aussi des Anglais de New York au sud et des Anglais au nord qui exercent une mainmise sur la baie d’Hudson. ...
... 4 Denise Colin (vers 1651-vers 1731) Autres graphies : Collin, Colain, Colein – Touin, Toin, Thoin, Thouin, Teoins, Touen Origine A près avoir quitté la paroisse Saint-Nicolas de Lagny, non loin de Paris, où elle habitait, Denise Colin s’embarque vers ...
... Marie Moyen est la fille de feu Jean Baptiste et de feue Élisabeth Lebret, de SaintNicolas-des-Champs, ville et archevêché de Paris. Née vers 1647. Arrivée en 1654 dans la colonie avec sa famille et vers 1657 à Montréal. ...
... Louise Dechêne, Habitants et marchands de Montréal au xviie siècle, Plon, Paris et Montréal, 1974, p. 272-273. À la note 6 de la page 273, elle ajoute : « L’ordonnance de Talon du 22 mai 1667 exige deux arpents abattus et mis en culture par année. P. ...