Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

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... Au sujet de la mobilité sociale et de l’histoire de Montréal, la référence demeure Louise Dechêne, Habitants et marchands de Montréal au xvii e siècle, Paris, Plon, 1974. ...

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... Les Le Moyne et Le Ber deviennent rapidement les maîtres du commerce des fourrures, recevant les Amérindiens chez eux comme le font, malgré les interdictions, les autres habitants de Montréal qui se mêlent de la traite. ...

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... Cette liste, ou des variantes, se trouve dans la littérature secondaire imprimée ou électronique (tel Raymond Douville et Jacques-Donat Casanova, La vie quotidienne en Nouvelle-France, Paris, Hachette, 1965). ...

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... Jacques Cartier, Voyages au Canada, éd. par Charles-Henri Julien, Paris, Flammarion, 1981, p. 196. ...

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... Un mot sur le chêne, ce « bois noble », c’est-à-dire réservé aux nobles en raison de sa qualité supérieure : il faut savoir que son écorce – le tan – contient des produits tannants utilisés pour traiter le cuir. ...

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... La traite des fourrures 41.  ...

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... C’est dans ce contexte qu’il faut examiner un des traits remarquables de la première migration de Filles du Roy à Montréal. ...

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... L’inventaire des biens qu’il a en communauté, selon la coutume de Paris, avec feu sa précédente épouse Marie Marthe Pinson, liste, en date du 6 juillet 1663, des biens meubles d’une valeur de 1 509 livres et des immeubles évalués à 4824 livres, sans compter ...

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... Coutume de Paris, articles 234-236. Dans Bourdot de Richebourg, Grand Coutumier général, 3 (Paris, 1724), p. 29-55, cité par Josette Brun, « Les femmes d’affaires en Nouvelle-France au 18e siècle : le cas de l’île Royale », Acadiensis, vol.  ...

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... Elle est orpheline de père, décédé en 1662, maître potier d’étain, bedeau ou porte-verge de l’église Saint-Sauveur de Paris ; il s’appelait Benjamin et sa mère Claude Proux. ...