Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

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... face les pousseront possiblement à unir leurs forces, plus que de coutume peut-être, pour élever une famille envers et contre tout. Ils se marient le 6 juin 16664. On pourrait y voir une très mauvaise prémonition ! ...

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... Jacques et Suzanne s’enracinent à Québec avec leur petite famille et semblent avoir laissé derrière eux le passé criminel de Jacques à Montréal. ...

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... Nouveaux mariages et querelle Après la tourmente et les nombreuses audiences des années 1680, un événement heureux arrive dans la famille en janvier 1690 alors que le fils aîné Julien, maintenant âgé de 22 ans, se marie à Anne Louise Vanier. ...

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... Celui ensuite de Charles, benjamin de la famille, avec Suzanne Bon Lacombe Lebon. Ils auront neuf enfants, dont sept se marieront. ...

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... Peut-on parler de famille reconstituée en 1720 ? Bonne devinette ! ...

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... . • L’influence de cette famille a sans doute été marquante ; ce que nous en relevons ici ne fait que lever le voile sur quelques-uns de leurs engagements. ...

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... On pense qu’elle partit avec l’aîné Pierre, 9 ans, car sa lettre précise d’amener ses 4 enfants (8, 6, 5 ans et 1 an) dont le PRDH dit qu’ils sont décédés hors Québec. ...

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... La France croit qu’elle a pu mourir le 30 juin 1693, à l’Hôpital de Paris, entrée le 22 précédent, sous les lettres suivantes : M.M. Salée. ...

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... La famille a grossi. Marguerite est enceinte à nouveau, pour la sixième fois. L’hiver s’en vient. Tout de suite 4.  ...

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... La famille aura sûrement à subir les contrecoups des difficultés financières de Charles. Il est passablement endetté. Il met même en péril les biens qu’il détient de son mariage avec Marguerite. ...