Franco-Amérique [NE]

... La première journée d’école, l’instructeur a dit aux Pawpaws que leurs familles ne parlaient pas un « vrai français ». Une phrase devenue familière. ...

... Une maison créole en rondin (celle des Boullins) à la mine de Shibboleth (Washington County, Missouri) avec la famille Boyer (Josephine, Clementine, Mary et les enfants), circa 1910. © K. Beaulne. ...

... La plupart des maisons créoles avaient été construites au xixe siècle ; on y ajoutait des pièces au fur et à mesure que la famille grandissait. On électrifia les maisons dès qu’il a été possible de le faire, au cours des années 1940 et 1950. ...

... Il passa plusieurs semaines parmi des familles francoamérindiennes qui vivaient dans le district de la vallée de la Willamette connu sous le nom de Prairie française2. ...

... La tendance de Saint-Amant de ne pas s’intéresser au rôle joué par les trappeurs canadiens-français – donc des familles interethniques et des relations avec les Amérindiens – par rapport aux grands événements de 300  franco-amérique l’histoire illustre ...

... Tandis que les familles biculturelles franco-­ amérindiennes cherchaient à nouer des liens avec tous leurs voisins, ultimement, leur présence même a contribué à la ­colonisation euro-américaine du Pacific Northwest. ...

... Si les engagés étaient mutés à l’intérieur du Département du Columbia, ils amenaient souvent leurs familles avec eux. Les familles suivaient aussi les hommes qui participaient aux difficiles expéditions terrestres de trappe. ...

... Ils envoyèrent une lettre chaque année, reprenant la même demande jusqu’à ce que, en 1838, on leur réponde que Joseph Signay, archevêque de Québec, leur avait envoyé les missionnaires François Norbert ­Blanchet et Modeste Demers. ...

... scolarisés, ils sont devenus des leaders et ont pu aider les Canadiens français et leurs familles à mettre sur pied leurs propres institutions religieuses et sociales. ...

... Dix ans plus tard, ils seront entre 65 et 70 familles habitant Prairie française. ...