Franco-Amérique [NE]

Franco-Amérique [NE]

Page 51

... En ce qui a trait aux paroles, l’interprétation de Pellerin demeure, en tout point, fidèle à l’original. Cela dit, la pertinence d’une opération d’interprétation peut se situer ailleurs que dans le texte d’une chanson. ...

Page 64

... Vagabondages initiatiques, Paris, La Table ronde. MIRON, Gaston (2004), Un long chemin. Proses 1953-1996, édition préparée par Marie-Andrée Beaudet et Pierre Nepveu, Montréal, L’Hexagone. ...

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... Cette grande diversité dans les origines, doublée d’une grande diversité culturelle, est un trait marquant de la communauté francophone de Toronto. ...

Page 87

... Il n’en est pas moins utile de rappeler certains grands traits de l’évolution récente du territoire ontarien qui pourraient susciter, à terme, de nouvelles dynamiques Du village à la métropole : les communautés franco-ontariennes 87 ...

Page 101

... Halifax Depuis qu’elle était devenue anglaise par le traité d’Utrecht (1713), la péninsule de Nouvelle-Écosse Acadie 101 101 ...

Page 114

... En guise d’hyperliens, des astérisques signalent les notions importantes traitées comme entrées individuelles plus loin dans l’article. ...

Page 116

... Un astérisque marque les expressions ou les mots traités plus loin comme une autre des 101 entrées. Nous invitons ainsi le lecteur à lire immédiatement, au besoin, l’entrée complémentaire en question. 116  franco-amérique 3. ...

Page 119

... Boris Cyrulnik, Un merveilleux malheur, Paris, Éditions Odile Jacob, 1999. 60. Voir Stephen A. ...

Page 123

... mesure que les Français remontaient le Saint-Laurent et ses affluents en direction des Grands Lacs, le contrôle des voies fluviales devint une priorité absolue, à cause surtout des conflits avec les Iroquois, les Hollandais et les Anglais au sujet de la traite ...

Page 124

... Le traité d’Utrecht mit fin à la guerre en attribuant aux Anglais l’Acadie péninsulaire, les Acadiens restant sur place. ...