... Le plus vieux des fils, Étienne, qui avait 21 ans, était marié et avait sept bêtes à cornes et sept brebis4. Il est probable que Pierre venait de Bourgogne en France, une région où l’on trouve toujours bon nombre de Comeau. ...
Franco-Amérique
... Ils se sont mariés, mais je n’ai point trouvé d’issue. Fort à parier que, comme tant d’autres, ils ont aussi quitté Bécancour en direction des États-Unis. De l’Acadie à l’Alberta en passant par le Kansas : sur les traces de la famille Comeau 237 ...
... Les plus jeunes se sont mariés au Kansas et y ont même eu des enfants. Pourquoi donc quitter le Kansas et se rendre encore plus loin dans le Nord ? ...
... La stratégie des prêtres-colonisateurs était douteuse : les prêtres s’adressaient aux individus qui avaient du capital – des hommes mariés avec enfants – et ils soulignaient les difficultés de la vie en Alberta. ...
... Juneau a marié Marie Beauchemin le 19 mars 1875 et qu’ils se sont établis en premier à Saint-Albert, une communauté largement métisse à l’époque. En 1888, ils ont déménagé à ce qui deviendrait Rivière-quiBarre. ...
... Or, le destin des filles était de se marier. Philomène a épousé Joseph Morrissette et ils ont vécu à Morinville. Albertine a marié un Bélanger et a choisi de vivre avec son mari dans la région de Rivière-la-Paix. ...
... Il s’est dirigé vers Boston, mais a eu le malheur d’arriver lors d’une récession où les rares emplois étaient accordés aux hommes mariés. Il est donc retourné au Canada, en passant par la Saskatchewan, où il a travaillé un certain temps. ...
... À l’âge de 18 ans, elle se marie à Henri Bouchard, mon père, originaire de Kathleen (à une vingtaine de milles de Falher) qui, à l’époque, travaillait au village de Jean-Côté. C’était le début des années 1960 et la fin de l’époque des homesteads. ...
... Selon les données généalogiques disponibles sur 250 franco-amérique Internet, il y aurait eu une autre fille, l’aînée Marie-Arselia Comeau. ...
... Remuement Avant qu’il ne soit le nom d’une tribu d’Amérindiens vivant au sud-ouest de Sault-Sainte-Marie, ou plus tard le nom d’un petit village fondé par des Canadiens français, le terme minomin (manomen) désignait une plante qui pousse dans les rivières ...