... Il ajoute que Servule était mis à contribution « par les jouvenceaux du voisinage » pour écrire des lettres 9. ...
Gens de ma paroisse (Les)
... qu’il en devint comme fou. […] Vu son assez bonne instruction, il se crut en état de pouvoir aimer et marier les plus grandes demoiselles de la paroisse et se mit à leur faire la cour bon gré mal gré, de vive voix ou par lettres : il devint extravagant16 ...
... Cette famille (qu’il qualifie de « péteux du Faubourg »…) comprenait au moins quatre filles, dont Alice qui entra chez les Ursulines en 1875. Ouellet, « Le maître d’école… », loc. cit. 18. ...
... Je crois que le tout n’avait pas été lavé depuis nombre d’années, à part les souris qui, étant de la famille, en léchaient une certaine partie. ...
... 10 Les Têtu de Trois-Saumons : une famille différente et disparue I l n’y a plus de « Têtu » à Trois-Saumons depuis longtemps. ...
... Leur neveu, Mgr Henri Têtu (né en 1849), nous a laissé de précieuses informations sur ses parents de SaintJean-Port-Joli dans son Histoire des familles Têtu, Bonenfant, Dionne et Perrault publiée en 1898. ...
... Calixte, aussi appelée Céleste, demeure dans la maison paternelle jusqu’à sa mort en 1877. C’est toutefois sa cadette Hortense qui est « la femme d’affaires de la famille » et qui administre la succession de ses parents, morts en 1858 et 1869. ...
... Au recensement de 1871, « George », 13 ans, réside chez Têtu, avec un frère de ce dernier (David, 63 ans) et le domestique Jean-B. Gilbert. ...
... Au moment où il intente un procès contre les Dussault, George Morin (qui écrit toujours son nom sans « s ») est chef de gare à Sainte-Louise et, effectivement, père d’une famille nombreuse, soit 15 enfants, dont un seul est marié. ...
... 10 • Les Têtu de Trois-Saumons : une famille dif férente et disparue 179 29, dans un autre testament fait devant le notaire Leclerc, il confirme et ratifie la donation du 20 juillet. ...