... De plus, Majesk et sa famille occupaient et exploitaient un territoire situé tout près de la source des rivières du Lièvre et Gatineau, tout comme plusieurs autres familles de la bande qui, chaque année avant de se rendre à Weymontachie, se rassemblaient ...
Gestion de l'étranger (La)
... À titre de comparaison, on peut estimer à environ 3,6 le nombre d’enfants par famille, parmi la bande de Mistassini, en 1823-1824 (Lips, 1939, p. 153-155). 78. ...
... Toujours en tenant compte du fait qu’un chasseur subvenait généralement aux besoins de sa famille, on constate que la moyenne d’achat annuelle des autres articles vestimentaires paraît beaucoup trop faible pour qu’ils aient été des produits recherchés ...
... Enfin, des tentes préfabriquées et usagées étaient parfois disponibles dans les postes, mais il appert que la grande majorité des familles atikamekw continuaient de recourir aux abris traditionnels faits d’écorce ou de peaux. ...
... Aussi, en attribuant à chaque famille atikamekw de 5 personnes un territoire d’environ 125 kilomètres carrés — soit 25 km2 par individu109 —, c’est un réservoir minimum potentiel de 12 500 rats musqués dont celle-ci auraient disposé. ...
... Il est vrai que, dans le cas de plusieurs groupes, une fois que les fourrures avaient été échangées en mai ou en juin, les familles en profitaient pour s’attarder autour des postes de traite durant plusieurs semaines. ...
... En effet, si en 1806-1807 et en 1824-1825 les castors capturés pouvaient potentiellement combler environ le quart (27,1 % et 26 % respectivement) du besoin annuel en calories d’une famille, ce pourcentage passa à 14,8 % en 1828-1829115. ...
... HBCA, F. 4/1-57 ; AUM, 1799-1803 ; Atcheson, 1811, p. 14 ; Innis, 1962, p. 166 ; White, 1987, p. 169-180. 14. Cormier, 1978, p. 105. ...
... Considérant que le besoin calorique journalier d’un individu est en moyenne de 3000 calories, on peut estimer à environ 5 475 000 calories le besoin annuel d’une famille de cinq individus (3000 Ca. x 365 jours x 5 individus). ...
... Lors de son premier séjour à Weymontachie à l’été 1837, le missionnaire Dumoulin avait appris, peut-être de la bouche d’un employé du poste de traite, qu’il lui serait inutile de se rendre à Obedjiwan, puisque toutes les familles de ce poste avaient déjà ...