... Dès les lendemains de l’attentat, l’archevêque de Paris, Christophe de Beaumont, s’en est pris à la « philosophie antichrétienne du siècle » et à ses sbires qui ont introduit, « dans les esprits et dans les livres, une multitude de principes qui portent ...
Guerre de Sept Ans, 1756-1763 (La)
... Si, écrit l’amie de Mopinot, « on crie beaucoup contre votre général », si on « souhaite son rappel » et si « plus des trois quarts de Paris veulent que M. d’Estrées soit parti pour le remplacer »54, c’est surtout LA-GUERRE-DE-SEPT-ANS_INT_15-02-16.indd ...
... Si la guerre tourne à la catastrophe, c’est peut-être la faute de la marquise, accusée d’être l’instigatrice du funeste traité de Versailles. ...
... Au mois d’avril 1760, un certain Claude Guétard, négociant à Paris, se signale au café Gradot par ses propos peu patriotiques : « Il se plaignait de la mauvaise administration de la France et faisait l’éloge du roi de Prusse, qui, disait-il, ne fait ...
... historiques des bons citoyens et des hommes utiles en tout genre qui auront mérité l’amour et l’estime du public qui les a connus75. » En lançant le Moniteur français, Moreau, dont on connaît l’attachement sans faille à la monarchie française, a tiré un trait ...
... S’il défend Palissot qui, natif de Lorraine comme lui, est son protégé, le ministre avoue cependant que « tout ce train d’auteurs » ne lui est bon « que pour faire diversion dans la tête des badauds à Paris à la guerre véritable »78. ...
... Ils mettent un terme à un des traits les plus saillants du gouvernement monarchique : le secret absolu enveloppant la politique étrangère de la France. ...
... Compte tenu de la complexité des affaires qui y sont traitées, le livre est plutôt concis : ses presque deux cents pages ne prétendent nullement à l’exhaustivité. ...
... La paix de Paris, c’est ce que maints livres d’histoire en ont dit, aurait été accueillie avec soulagement par les Français. Voltaire est largement responsable de cette vision des choses. ...
... La paix de Paris, explique Duclos, est la conséquence logique de la politique pusillanime de Versailles au début du conflit, quand « le maréchal de Mirepoix, dupe jusqu’à l’imbécillité, répondait toujours des dispositions pacifiques du roi d’Angleterre ...